mercredi 31 octobre 2018

LA PIERRE DE COUME SOURDE



Le lecteur ou le chercheur qui me procure le plaisir d'être lu sait combien ma difficulté à dire peut s'avérer source de conflit intérieur.

J'aborde l'analyse succinte d'un nouveau matériel dit de " la dalle ou de la pierre de Coume Sourde " avec l'expérience des modalités de dissimulation de la part des Initiés.

Il est dite que cette pierre fut trouvée par M. Ernest Cros dans les environs de la commune de Rennes-les-Bains en 1928.

Gérard de Sède dans son essai sur Rennes-le-Château est le premier à en faire mention.
Avec les précautions d'usage vis à vis de l'authenticité de cette pierre, mais en prenant en considération le fait que celle-ci fut intégrée dans le puzzle, je me permets de livrer une lecture pour le moins intéressante,assise sur un unique élément

Ainsi qu'il est écrit cette dalle fut retrouvée dans les environs de Rennes-les-Bains, à la côte 532.
Au demeurant ce détail en lui-même n'apporte rien en terme d'informations, et c'est bien cet élément d'un tout qui devrait éclaircir sa présence.

A l'instar du nombre 681 de la fameuse phrase " Bergère pas de tentation...PAX 681 " dont nous avons pu observer que 681 décomposé en date du calendrier républicain - 06 ème jour du huitième mois de l'an I de la République - produisait la date en calendrier grégorien du 25 avril ( soit la date anniversaire du décès de David Teniers Le Jeune lui-même étant le gardien d'une clef " Que Poussin Teniers garde la clef " de la même phrase ) je livre ici les résultats obtenus et que je considère comme définitifs pour des raisons qui trouveront leur explication plus tard.

Donc en date anniversaire, en procédant à la conversion suivante - 532 = 05 ème jour du troisième mois de l'an II de la République - le résultat est le 25 novembre.

Sur cette date en correspondance nous aboutissons à la date anniversaire de décès de Jacques Coeur, personnalité que nous avons déjà croisé.

Mais plus subtilement nous parvenons sur un ancien lieu parisien : la butte Saint-Roch.
Ceci par cet évènement :

Il s'agit ici de s'attarder sur Edmond de la Fosse, exécuté de la pire des façons en cette place le 25 novembre de l'an  1503.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Butte_Saint-Roch 

Il n'aura pas échappé à la sagacité du lecteur le plus au fait des composantes de l'Enigme ce détailrelatif à la butte Saint Roch :

Un rimeur du XVIIème siècle décrit la butte de cette manière :
Dieu vous garde de malencontre,
Gentille butte de Saint-Roch,
Montagne de célèbre estoc,
Comme votre croupe le montre;
Oui, vous arrivez presqu'aux cieux,
Et tous les géants seraient dieux
S'il eussent mieux appris la carte,
Et mis dans leur rébellion,
Cette butte-ci sur Montmartre

Au lieu d'Ossa sur Pélion.


Ossa sur Pélion que nous allons retrouver très logiquement dans l'essai de l'abbé Boudet " La Vraie Langue Celtique ou le cromlech de Rennes les Bains " ceci page 239 : "...ces énormes pierres...placées sur le sommet des collines...entassant Ossa sur Pélion et l'Olympe sur Ossa ".


Sur la même page il est question " de la providence divine distribuant avec abondance à son peuple l'élément essentiel, l'épi de blé ".


Toujours poursuivant dans le même registre logique, la page 239 = 23 ème jour du 09ème mois ( grégorien ) donc 23 septembre nous conduit à ce résultat concernant le Pape Calixte II - dont nous savons toute l'importance de cette référence- et relatif au Concordat de Worms :


https://www.persee.fr/doc/bec_0373-6237_1898_num_59_1_462951

Ainsi peut se justifier cette mention de la côte 532. 

Cette pierre de Coume Sourde détient également une seconde date ( année 1292) cette fois en chiffre romain, que nous analysons selon le même procédé : 12ème jour du neuvième mois de l'an II de la République et dont nous ne dirons rien pour l'instant.

Maurice Leblanc, dans les confidences d'Arsène Lupin, use de ce stratagème, avec toute l'intelligence qui est la sienne :
— Cela se passait ?… demanda Lupin.
— Cela se passait le vingt-six germinal, an II, c’est-à-dire le… » 

« Et chacun d’eux portait la même date ?
— Oui, inscrite par Charles d’Ernemont, lorsqu’il les fit encadrer peu de temps avant sa mort… La même date, 15-4-2, c’est-à-dire le 15 avril, an II, selon le calendrier révolutionnaire, puisque l’arrestation eut lieu en avril 1794.
— Ah ! bien, parfait… dit Lupin… le chiffre 2 signifie… »

il est question d'une combinaison de chiffres - 15-4-2 qui est traduite en date du 15 avril an II de la République- et ici Maurice Leblanc attire notre attention en amalgamant les deux systèmes (républicain et grégorien ) manière de nous dire que l'un conduit à l'autre, mais dans le fil du roman Maurice Leblanc va finir par traduire le chiffre deux par " deux heures " - il est question ici d'un cadran solaire et ce détail là ne vient certainement pas par hasard.

Sur cette date du 15 avril en dates anniversaires nous aboutissons à deux personnalités en lien avec notre énigme :

- Léonard Euler né un 15 avril.

- Léonard de Vinci né un 15 avril.

Nous pouvons affirmer ici que ces deux présences ont toute leur place dans la construction patiemment et rigoureusement agencé par les Initiés.

Comme précédemment il y a ici un " blanc " que je comblerais en temps utile.

Alain COCOUCH -  A SUIVRE



 



 




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mardi 23 octobre 2018

LE GRAAL SUITE


Pour qui connaît l'étrange atmosphère encadrant l'univers des deux Rennes, l'intrusion du mythe du Graal dans mes recherches ne devrait pas surprendre.

Du Graal des Cathares, dont parmi les soubresauts occultes du régime nazi, certaines puissances noires convoitaient la possession ( pour référence les fouilles entreprises par le SS Otto Rahn dans la région de Montségur, au Graal spirituel de Chrétien de Troyes, en passant par le Graal vortex ouvrant l'accès au monde interdit du non-visible, l'inventaire est riche.

L'abbé Boudet, si l'on prête foi aux résultats produits selon la méthodologie de dates anniversaire en miroir, ce qui d'une certaine façon aboutit à la manifestation dans le concret du concept de temps cyclique, dirige donc notre attention vers ce vase sacré ( pour référence Thibaud Gaudin s'enfuyant de St Jean d'Acre avec les trésors du Temple).

Une fois le sujet posé,l'abbé Boudet n'omet pas de souligner deux villes de France entretenant quelque rapport avec l'Enigme : Bourges et Carcassonne.

Tout d'abord Bourges, dont le rayonnement sacralisé par l'oeuvre des hommes se pare des atours les plus hermétiques afin de toujours conserver son aura.
Bourges et la Queste du Graal sont intimement liés, de par la personnalité de Jacques Coeur, dont le palais déploie aux yeux des érudits les messages d'hier gravés dans la pierre.

Certains veulent lire dans les figures décorant le palais l'oeuvre alchimique dans sa cristallisation.

Les liens entre Bourges et le secret de Rennes-le-Château sont nombreux,ainsi que le précise la page de couverture de l'opuscule Le Serpent Rouge, faisant intervenir Théophile Moreux, directeur en son temps de l'Observatoire de Bourges.

L'intervention d'un gnomon est présente, ainsi qu'en l'église Saint Sulpice de Paris.

https://www.leberry.fr/bourges/loisirs/fetes-sorties/2017/06/21/un-phenomene-rare-va-se-produire-dans-le-cathedrale-de-bourges-aujourd-hui_12452236.html

La Cité de Carcassonne, quant à elle, ne pouvait se soustraire du mystère audois, et vis à vis du Graal défaire les liens, ceux-ci fussent-ils mythiques,dont l'ultime facétie historique, saillie de la soi-disante race des seigneurs, se manifesta durant la seconde guerre mondiale :

https://books.google.fr/books?id=-mMlDwAAQBAJ&pg=PT124&lpg=PT124&dq=cit%C3%A9+de+carcassonne+et+le+graal+et+nazi&source=bl&ots=QnFqzrE1Bw&sig=2WulyZ1_2aCqJOKdrxVFSfhfPBk&hl=fr&sa=X&ved=2ahUKEwjU-sHo4JzeAhVvxYUKHXKxBhoQ6AEwCnoECAMQAQ#v=onepage&q=cit%C3%A9%20de%20carcassonne%20et%20le%20graal%20et%20nazi&f=false

Il est curieux que,depuis mon investigation la semaine dernière sur ce thème, un article de l'Indépendant de février 2014 soit inaccessible :

http://musiqueetpatrimoine.blogs.lindependant.com/archive/2014/02/15/de-mysterieux-souterrains-sous-la-cite-186587.html

Puisque l'abbé Boudet nous guide vers le palais de Jacques Coeur de Bourges, il serait opportun de tester ce mot-clef "palais" dans la Vraie Langue Celtique.

Ce mot est présent page 061 et 084.

Page 061 que nous allons traduire en 06 janvier.

En correspondance de dates anniversaire :

- le 06 janvier 1852 est la date de création de la Commission pontificale pour l'archéologie sacrée.
- le 06 janvier sont fêtés les Rois Mages : Melchior, Balthazar et Gaspard.
- Sur un plan géographique  le 06 janvier 1805 marque la création du canton de Couiza sur les débris du canton d'Arques.

Page 084 que nous allons traduire en 08 avril.

En correspondance de dates anniversaire :

- le 08 avril 1500 est à mettre en rapport avec la construction du pont Notre-Dame à Paris :
Descendre page 043 :

https://www.persee.fr/doc/bec_0373-6237_1846_num_7_1_451976

Ce lien vers ce pont parisien se justifie par ceci :

 
On a gravé sur une des arches ce distique de Sannazar en l'honneur de l'architecte :
Jucundus geminum posuit tibi, Sequana, pontem ;
Hunc tu jure potes dicere Pontificem

De Sannazar nous avons reçu en héritage sa principale oeuvre : L'Arcadie.

https://fr.wikisource.org/wiki/L%E2%80%99Arcadie 

Ce qui nous reconnecte avec l'un des éléments clefs de l'Enigme.

Il est remarquable d'observer la dédicace dédié et la présence d'un nom qui ne nous est pas tout à fait inconnu : Lenoncourt.

Le fameux dossier Lobineau forgé et déposé à la BNF par Pierre Plantard et consort, est signé Henri Lobineau dont on nous dit qu'il fut comte de Lenoncourt.

Quoi de plus logique, puisque Pierre Plantard, au-delà des apparences, au-delà de la campagne d'intoxication menée par ses soins, était ,à l'instar des initiés au secret qui l'ont précédé, aussi anxieux de laisser témoignage pour la postérité.

A suivre - alain COCOUCH





mercredi 17 octobre 2018

HENRI BOUDET ET LE GRAAL

Avant tout mes pensées émues pour les habitants du département de l'Aude encore une fois victimes.

Au carrefour des mythes et légendes, Rennes-le-Château semble déployer son mystère en faisant fi des contingences de l'espace et du temps.

Il en est ainsi d'une relique millénaire, dont maints auteurs ont conté par delà les siècles, la pérégrination.

Le Graal, puisqu'il faut mettre un nom sur celle-ci, serait-il un des artefacts dissimulés dans l'environnement des deux Rennes ?

C'est en toute objectivité vers cette présence que l'abbé Boudet paraît vouloir nous diriger.
Dissimulé sous l'emprunt de l'épisode du vase de Soissons, dans la Vraie Langue Celtique,les résultats offerts par la méthodologie de correspondance de dates du calendrier dessinent une intention de dire et de canaliser notre attention vers celui-ci.

Au lecteur d'en juger.

Le mot vase dans l'essai de l'abbé Boudet est présent quatre fois, pages 194, 204 , 205, 206.

Page 194 = 19 avril.

En correspondance de dates anniversaires, le 19 avril 1308 :

https://www.templedeparis.fr/2013/12/27/%C3%A9tats-g%C3%A9n%C3%A9raux-convoqu%C3%A9s-par-le-roi-philippe-iv-le-bel/

Page 204 = 20 avril .

Le 20 avril est dans le calendrier républicain le jour de la Rose.

En correspondance de dates anniversaires : le 20 avril 1314 est la date de décès de Clement V, de sinistre mémoire pour le Temple +


Plus proche de la date de rédaction de la Vraie Langue Celtique, le 20 avril 1884 le pape Léon XIII fulmine la bulle anti-maçonnique Humanum Genus.

Page 205 = 20 mai.

Le mot vase est présent quatre fois sur cette page ou l'on peut lire " un vase sacré d'une grandeur et d'une beauté singulière ".

En correspondance de dates anniversaires le 20 mai :

http://www.templiers.net/maitres/index.php?page=thibaud-gaudin

Sur le site passion patrimoine :

Il prit le commandement des troupes restantes et se retira à Sidon. Ne voyant aucune issue, il s’embarqua avec ce qui restait des frères de l’Ordre, les archives et les vases sacrés, et se retira au château de Sagette où il fut élu Grand Maître au mois d’août 1291.

Page 206 = 20 juin

En correspondance de dates anniversaires cette fois  un résultat proche géographiquement des deux Rennes, le 20 juin 1311, à Carcassonne :

L'étude sur le Temple de Toulouse et celui de Laramet nous a donné la preuve de l'inexactitude de cette assertion. Quoiqu'il en soit, dans la charte de donation figurant parmi les preuves de l'histoire du Languedoc, et dont les archives de la commanderie n'ont conservé qu'une copie inscrite dans un autre document, nous lisons que le noble couple donna, entre les mains d'Amélius, évêque de Toulouse, à Dieu et à la sainte milice du Temple, représentée par les chevaliers Arnaud de Bédous et Raymond de Gaure, leur fief de la Nougarède, en franc-alleu. Ce territoire, «  placé sous la sauvegarde divine et limité par des croix suivant l'usage,  » s'étendait de la forêt de «  Silva corta  », jusqu'à l'Ariège et devait porter désormais, d'après la volonté du donateur, le nom de Villedieu. Le comte Roger ajoutait à cette donation des privilèges, qui témoignent de toute sa sympathie; ainsi il leur accordait le pâturage pour leurs troupeaux dans tous ses bois et exemptait eux et leurs vassaux des droits de leude, de péage et d'usage dans toute l'étendue de sa terre.
Cette importante donation avait pour témoins un grand nombre de puissants seigneurs du pays, qui voulurent s'y associer en apposant leurs sceaux à la suite de ceux du comte et de la comtesse de Foix: c'étaient Roger de Durban, Guillaume d'Asnave son fils, Arnaud de Verniole, Pons de Gramont, Bernard Athon d'Estrobal et Berenger de Brugal.
Dupuy, Histoire de la condamnation des Templiers.

Nous devons par suite nous borner à mentionner la fin lugubre de cet établissement. Son commandeur, Jehan de la Cassagne, après s'être fait inscrire parmi les défenseurs de son Ordre, fut arrêté à son tour; soumis à la torture, il avoua tous les crimes qu'on lui imputait et fut brûlé avec quatre de ses compagnons sur la place de la Cité à Carcassonne (20 juin 1311).


Source Templiers.net

Suivant ce chemin logique et par association d'idées, sans doute le mot sang dans la Vraie Langue Celtique
recèle-t-il également quelque surprise.

Le mot sang est présent quatre fois dont trois exploitables pages 203, 253 , 101 , 140.

Page 101 = 10 janvier
En correspondance :

https://books.google.fr/books?id=uINaDgAAQBAJ&pg=PA170&lpg=PA170&dq=10+janvier+1129+et++r%C3%A8gle+originelle+%C3%A9tablie+%C3%A0+Troyes+ordre+du+temple&source=bl&ots=2z5NVNy1jj&sig=tsj1rFvxpT_gPjemtb-HxVQmOGA&hl=fr&sa=X&ved=2ahUKEwiA_KD13I3eAhVQ1hoKHZTKA6kQ6AEwAnoECAcQAQ#v=onepage&q=10%20janvier%201129%20et%20%20r%C3%A8gle%20originelle%20%C3%A9tablie%20%C3%A0%20Troyes%20ordre%20du%20temple&f=false


Page 203 = 20 mars 
En correspondance :

Au concile de Vienne en octobre 1311 , quelques Templiers décident de se présenter pour défendre l’ordre. Le roi, voulant en finir part en direction de Vienne avec une armée afin de faire pression sur le pape Clément V. Il arrive sur place le 20 mars 1312.

Page 253 = 25 mars  

En correspondance :


Le 25 mars 1308, Philippe convoque les états généraux à Tours, obtient de leurs délégués une déclaration lui donnant raison contre le pape pour le cas où celui-ci tenterait de défendre les Templiers. Clément V s'en garde.

Egalement en 1273, décès du Grand Maître de l'Ordre du Temple : Thomas Béraud. 

Ainsi que nous pouvons l'observer les dates ci-dessus se réfèrent au temps chronologique dédié à l'organisation du procès du Temple et son exécution, les deux acteurs principaux Philippe le Bel et Clement V.

Ceci pour les résultats bruts - Bien évidemment il est des liens à évaluer pour compléter l'étude.

A suivre donc

Alain COCOUCH

mercredi 10 octobre 2018

NOTRE DAME DU CROS : LE CHEMIN DU ROSAIRE



Comme énoncé dans mes écrits précédents, mon travail de recherches, au  vu des résultats produits, certains, le plus grand nombre, révélés, et d'autres en attente, est le chaînon manquant, venant après les découvertes accomplies par celles et ceux qui m'ont devancé, et ont investigué avec raison des lieux hors du périmètre des deux Rennes.

Ne disposant pas pour l'heure de documents personnels, surtout iconographiques, dois-je à l'intention du lecteur ,afin de faciliter son appréhension, créer ce lien vers le sujet d'étude du jour.

http://www.rennes-le-chateau-archive.com/eglise_nd_du_cros_rosaire.htm

La datation du chemin du rosaire de Notre-Dame du Cros est située officiellement au dix-neuvième siècle, sans précision d'année.

Ici, comme en d'autres lieux de l'Enigme, toute la maestria des Initiés au secret semble s'être exprimée.
Leur grande intelligence étant de prendre appui sur des dehors conformes au dogme catholique afin de divulguer un message ,opaque pour le profane, et clair pour qui possède la bonne clef de lecture.

Ladite clef en l'occurence se déployant grâce aux correspondances de dates du calendrier.

Nous débuterons notre visite par les Mystères joyeux :

Annonciation de l'Ange Gabriel à Marie : fête le 25 mars.

En correspondance, le 25 mars 1581 - changement de calendrier.
                               En 1273, le 25 mars, mort de Thomas Béraud, Grand Maître de l'Ordre du Temple, à St Jean d'Acre.
                               Il est remarquable d'observer sur cette station un médaillon représentant l'Arche d'Alliance.

                               Voici une des justifications de ce système mis en place qui permet d'associer l'Histoire connue et l'Histoire invisible.

Visite de Marie à sa cousine Elisabeth :

 

La fête initiale était fixée au 02 juillet.

Village de Kariathiarim

La station du 2 juillet apparaît déjà dans le vieux lectionnaire arménien. Une source arabe médiévale (Eutychès d'Alexandrie, Xe s.) identifie le lieu biblique Oiriat Yearim (Kariathiarim en grec) au village Qiriat el 'Inab (peut-être le Qiriat 'Anabîm biblique), aujourd'hui Abu Ghosh, où se trouve une belle église croisée Les fouilles sur la colline près du village musulman actuel ont mis au jour une église byzantine qui peut remonter au début du Ve siècle. Elle a fait l'objet d'une reconstruction, sur un terrain appartenant aux sœurs de Saint-Joseph.
C'est l'un des endroits où fut déposée l'arche de l'alliance à l'époque des Juges (I Sm. 7, 1), avant d'être placée dans le temple de Jérusalem. Cette fête fait partie d'un véritable « cycle de l'arche », avec le Kathisme le 13 août (voir A.13), Masephtha (A.23), Jérémie lui-même (A.14). 

Au sein de l'église Orthodoxe, la fête est fixée au 30 mars.
Le 30 mars est la date anniversaire de la naissance de Moïse Maîmonide, figure emblématique du judaïsme 
( 13ème siècle ) que nous avons déjà évoqué vis à vis de la tombe de Marie de Nègre d'Ables.

La tombe de Maïmonide se situe sur les rives du lac de Tibériade, anciennement nommé Génésareth...

Nativité de Jésus :

 

L'étoile des Rois Mages est représentée sur cette station.
Je ne peux ici que reprendre mon analyse sur le statuaire de l'église de Rennes-le-Château, en précisant toutefois ma pensée.

Souvenons-nous de la présence de deux enfants Jésus dans l'église de Rennes-le-Château, l'un tenu par Marie, le second par Joseph, présence qui a interpellé grandement certains chercheurs.

L'existence d'un frère jumeau de Jésus, signe contenu dans cette double présentation, a été émise.

La lecture que je me permets de faire de cette double présence ne relève pas du domaine de l'interprétation, il s'agit ici de prendre en considération l'existence sur la date du 25 décembre  ( sur deux années différentes) des deux comètes que j'ai signalé.

Une information, O combien précieuse , puisque celle-ci va nous mener en deux temps, au référent commun à l'ensemble des Initiés. 

Présentation de Jésus au Temple :

Evènement célébré dans le calendrier liturgique à la date du 02 février.

Ici convient-il de se référer à mon analyse du 02 février, date contenue dans le tableau les Bergers d'Arcadie de Nicolas Poussin.

Le 02 février en lien avec l'élection au trône pontifical de Calixte II.

Ainsi que nous pouvons l'observer à partir des documents iconographiques du site en lien, deux années sont représentées au voisinage du chemin du Rosaire.

L'une 1885 - mentionnant le chemin Rambaud.

La Passion, autrement dit la Pâques chrétienne est fixée en 1885 le 05 avril.

En correspondance, le 05 avril 1523 est la date anniversaire de Blaise de Vigenère, que l'on ne présente plus dans son utilité vis à vis de l'Enigme.

A suivre - alain COCOUCH









mardi 2 octobre 2018

D'UNE PIETA A L'AUTRE : trois pierres rondes...


Ami lecteur bonjour,

Ainsi que précédemment exposé, deux indices concernant le père Joseph Chiron ont été laissés à l'intention des chercheurs au sein de l'église de Rennes-le-Château ( voir les travaux de Franck Daffos)

En 1852, Joseph Chiron décida de rejoindre l'église Notre-Dame du Cros ou il décéda le 27 décembre.Sa sépulture fut placée sous le porche de l'église.

Avant de poursuivre, il me semble nécessaire pour une bonne compréhension de ce qui va suivre, de joindre un lien vers ce nouveau lieu de rendez-vous avec l'Enigme.

Plus précisément sur ce qui traite de la Pieta exposée en ce lieu.

http://www.rennes-le-chateau-archive.com/eglise_nd_du_cros_curiosites.htm

Ainsi que nous l'apprenons, le tableau original de cette Pieta est du peintre Annibale Carracci.
Celui-ci repose au Panthéon de Rome.

Annibale Carracci est décédé un 15 juillet.
En correspondance de date anniversaire, le 15 juillet 1149 le choeur des croisés de l'église du Saint-Sépulcre de Jérusalem est consacré, célébrant le cinquantième anniversaire de la prise de Jérusalem par les croisés de Godefroy de Bouillon.

Il sera utile ici de rappeler que la page 179 de la Vraie Langue Celtique de Boudet, 179 pour17 septembre, nous menait également en 335 ap. J.C vers la dédicace du Saint-Sépulcre.
Quand bien même certains auteurs situent cet évènement un 13 septembre, la source suivante cite les deux dates, permettant une exploitation à postériori de l'une ou l'autre.

https://books.google.fr/books?id=LfjRon6kkKYC&pg=PA641&lpg=PA641&dq=17+septembre+335+et+saint+s%C3%A9pulcre&source=bl&ots=m5YI3mZu5S&sig=Cm73gcxafTXRLXaGG-NO4PAB2jQ&hl=fr&sa=X&ved=2ahUKEwiP47q29efdAhXDX8AKHeBcDEI4ChDoATAGegQIARAB#v=onepage&q=17%20septembre%20335%20et%20saint%20s%C3%A9pulcre&f=false

Revenons à la Pieta de Notre-Dame du Cros.
Notre attention est attirée par la présence de trois pierres rondes en bas du tableau, détail que nous retrouvons sur la Pieta de Rennes-les-Bains.

Très logiquement, si nous suivons le lien vers le Saint-Sépulcre , nous ne pouvons que constater la parfaite adéquation entre ce symbole de pierre ronde et les Ecritures, ceci contextualisé avec les connaissances et croyances du dix-neuvième siècle.

Marc 15 :

Marc 15-46
 
S'en étant assuré par le centenier, il donna le corps à Joseph. Et Joseph, ayant acheté un linceul, descendit Jésus de la croix, l'enveloppa du linceul, et le déposa dans un sépulcre taillé dans le roc. Puis il roula une pierre à l'entrée du sépulcre. Marie de Magdala, et Marie, mère de Joses, regardaient où on le mettait. 

Aussi est-ce sans surprise que le Saint-Sépulcre de Jérusalem manifeste physiquement ce qui ressort du dogme chrétien :








En face de l'édicule, vous pourrez voir une église où se dresse une pierre ronde marquée d'une croix, considérée comme le nombril du monde (Omphalos Mundi).

Serait-ce là l'illustration du concept de croix dans le cercle cher à l'abbé Boudet ?

Si nous poussons plus nos recherches dans cette direction, des sources du 18ème siècle nous instruiront de la présence de deux pierres rondes au sein de l'édifice sacré :

https://books.google.fr/books?id=Hc9TAAAAcAAJ&pg=PA343&lpg=PA343&dq=trois+pierre+ronde+et+saint+s%C3%A9pulcre&source=bl&ots=xu1iMEPzli&sig=De6_8QaSEbCHNtYO3j4-PHZS6zk&hl=fr&sa=X&ved=2ahUKEwiesfKd-ufdAhVsCcAKHU8VCfo4ChDoATAHegQIAxAB#v=onepage&q=trois%20pierre%20ronde%20et%20saint%20s%C3%A9pulcre&f=false

Ce détail insolite sur les deux Pieta pourrait ainsi se révéler être un indice important vers la nature d'une des caches de Rennes-les-Bains.

Au demeurant, étant donné que l'Enigme et son décryptage m'ont enseigné quelque prudence, cet indice pourrait également se retrouver sur le terrain en tant que point de repère.

L'abbé Boudet dans la Vraie Langue Celtique est assez disert sur le sujet :

Page 167 il est question " de fortes pierres rondes " - 167 = 16 juillet

En correspondance de date anniversaire, le 16 juillet 1879 l'abbé Saunière est nommé vicaire à  Alet.

Page 245 " une pierre présentant le forme ronde du pain " - 245 = 24 mai.

En correspondance de date anniversaire , le 24 mai 1136 marque le décès du Grand Maître de l'Ordre du Temple : Hugues de Payns.
Résultat qui nous replace dans le contexte de la Croisade et du tombeau du Christ.

Page 232 il est question " de huit ou dix pierres rondes " - 232 = 23 février.
En cours d'étude.

A noter que deux pages sur trois entrées avec les mots " pierres rondes " font également référence à la croix grecque.
Ce qui n'est sans doute pas anodin...

En clair, ici comme ailleurs, je considère que le choix porté sur les deux Pieta identifiées comme étant des copies de tableaux référencés, ainsi que leur auteur respectif, ne doivent leur présence dans l'univers de Rennes-le-Château que par les dates respectives de naissance ou de décès des deux artistes, et les correspondances signifiantes attachées aux dates anniversaires.

A SUIVRE

P.S : N'ayant pas trouvé l'information par moi-même, je cherche à connaître l'année d'installation de la Pieta de Notre-Dame du Cros.
Ceci a son importance si je veux respecter quelque résultat qui pourrait sortir.

Merci de m'écrire : alain.cocouch@gmail.com

alain COCOUCH