mardi 24 avril 2018

MISE AU POINT


Ami lecteur bonjour,

Avant de poursuivre la restitution partielle de mes découvertes - j'emploie à dessein le mot découvertes parce qu'il ne fait plus guère de doutes, au vu des résultats obtenus, et ce sur plusieurs sources - que si je ne détiens pas toute la vérité, j'en possède une part non négligeable - il me semble nécessaire de dresser un état des lieux.

Je déclare donc avoir élucidé le sens profond de la fameuse phrase " Bergère pas de tentation etc"
J'ai déjà indiqué que PAX 681 était la clef de Teniers.
Celle ou celui qui découvrirait ce que recouvre PAX, si Dame nature l'a pourvu de ce qu'il faut de sagacité pour y parvenir, a de bonnes chances de comprendre l'ensemble.

La clef de Poussin, quant à elle, daterait à priori - hypothèse qui peut être contredite si je découvre un second résultat aussi clair et précis - de 1874.

En l'état, voici ce que je livrerais le moment venu, au grand agrément ou désagrément des uns ou des autres :

De leur utilité dans la résolution de l'Enigme :

1 ) Ad Genesareth - 

2 ) La date du 17 janvier 1781


3 ) La présence de la reproduction du tableau sur le Pape Celestin V

4 ) Le code " MORTEPEE "

5 ) La présence des 13 signes du zodiaque dans l'opuscule Le Serpent Rouge ( partie ancienne )

6 ) La présence des trois auteurs de circonstance du même opuscule ( partie moderne )

7 ) La présence d'autres éléments épars ( partie moderne )

8 ) La présence du légendaire lié à Marie-Madeleine - j'ai à ma disposition deux résultats clairs et précis, ne souffrant comme le reste d'aucune ambiguité, et dont la nature n'est qu'utilitaire.
Mais il est possible que ce qui a trait à Marie-Madeleine recouvre deux réalités co-existantes.

Résumons : Je détiens le secret.

Je sais, je ne suis pas le premier à le proclamer - d'autres illustres " découvreurs " m'ont précédé.
Il m'est arrivé moi-même de parvenir à des conclusions hâtives.
Mais quand je dresserais un tableau général de tous ces éléments mis en ordre permettant d'aboutir à la solution, quand je soumettrais au jugement du public les résultats les plus pertinents de mes recherches - résultats reposant sur une rationalité à toute épreuve et sans aucune ambiguité - seuls quelques esprits chagrins - il s'en trouve toujours - pourront arguer de vaines protestations.

J'aimerais maintenant éclaircir un point important : une équipe de chercheurs parvient selon leur méthodologie propre, totalement différente de la mienne, à circonscrire un site géographique.
Peu ou prou, je parviens au même résultat, avec plus d'amplitude et de précision.

Que cette équipe veuille bien croire que je ne cherche pas à agréger leur groupe.
Que cette équipe veuille bien croire que je cherche à agréger autour de mes découvertes celles et ceux qui sont intéressés par ma démarche.

Je suis prêt à partager avec celles et ceux dont je jugerais opportun la présence, soit pour une raison logistique, soit pour leur éthique - les deux serait un plus - l'aventure qui se profile et la découverte sur le terrain.

A contrario, je conserverais pour moi et à mon usage exclusif le résultat de mes recherches, ce qui me semble naturel et respectant en cela le chemin que j'ai suivi et son guide principal : Henri Boudet.

Ceci est mon dernier signe vers les membres de ce groupe.

Si, à mon grand regret, car il est des personnalités que j'estime parmi eux , ma proposition demeure sans réponse, je tirerais toutes les conséquences et serais contraint d'agrandir le cercle, et ce, peut-être, de la manière la plus large possible, afin de parvenir au but que je me suis fixé : découvrir et enfin comprendre.

Découvrir la nécropole souterraine et les gisants qui la composent.

Découvrir ce que depuis des années je nomme sous le terme générique de Livre caché : des écrits secrets.

Que l'on ne se méprenne pas : il y a chez tous ceux qui ont posé des jalons dans le passé une volonté manifeste de transmettre.

Mais il en est de cette démarche de chercheur - comme le fait de poser la question : peut-on rire de tout ?
Oui, mais pas avec n'importe qui.

Pour me joindre : alain.cocouch@gmail.com

mercredi 18 avril 2018

ARCHE D'ALLIANCE


D'aucuns, qui découvriraient ce blog dédié à l'énigme de Rennes-le-Château, ainsi que les découvertes dont je fais ici état, pourraient ne pas saisir le propos, ni la méthodologie employée.

Aussi je leur suggère de se rendre au commencement.
Au commencement était le Verbe.

Depuis ma résolution de la fameuse phrase " Bergère pas de tentation etc.. ", ainsi que son application sur le plan géographique, j'affine mon investigation, notamment vis à vis de la Vraie Langue Celtique de l'abbé Boudet.

Ce jourd'hui, je vais évoquer la présence dans le Razès d'un artefact qui a tant fait  couler d'encre : l'Arche d'alliance.

Sa présence ou son signifiant, ainsi que nous allons le voir.
Nous ne devrions ressentir aucun étonnement, quand dans le texte de l'abbé Boudet, certains mots-clefs ressortent, tels que pasteurs et brebis.
A contrario, les résultats obtenus, une fois le voile opaque qui les recouvre, découvert, ouvrent sur des perspectives que l'honnête chercheur ne saurait plus longtemps ignorer.
Avant de rentrer dans le vif du sujet, que le lecteur veuille bien comprendre le sens de l'opportunité, fort développé, qui anime les contributeurs secrets de cette construction invisible créant le Livre dans le Livre.

Dieu ou le diable se niche dans les détails, et sans pour cela que s'établisse une règle générale, certains fils rouges qu'il m'est donné de suivre méritent d'être tirés jusqu'à, si j'ose dire, épuisement du sens.
Par ailleurs, je vais également passer sous silence ce qui, pour l'instant, demeure discret.

Le mot-clef " pasteur " apparaît cinq fois dans la VLC : pages 042 - 058 - 145 - 185 - 265

Selon la méthodologie un mot-clef = un numéro de page exploitable = une date anniversaire.
page 171 = 17 janvier par exemple.

La page 145 donc du 14 mai nous renvoie vers la date du 14 mai 1150
Evrard des Barres, probablement à contrecœur, s'exécuta et se rendit en Terre Sainte avec la troupe des Templiers qu'il avait pu rassembler. Avant son départ, il avait réuni un chapitre général à Paris le 14 mai 1150.

De même, la page 185, donc du 18 mai nous renvoie sur la prise de saint-Jean d'Acre, ainsi que le décès de Guillaume de Beaujeu, alors Grand Maître de l'Ordre du Temple .

Guillaume de Beaujeu, Seigneur de Sevens, Grand-Maître de l'Ordre des Templiers, élû en 1288. après la mort de Pierre de Belleveûë, & tué à la prise d'Antioche le 18. Mai 1291. 
Source : le grand dictionnaire historique - 1759 

Nous allons nous attarder sur la page 058 donc du 05 aout.

https://www.cath.ch/newsf/la-neige-va-de-nouveau-tomber-sur-la-basilique-sainte-marie-majeure-de-rome/

Notons les éléments qui sont associés à ce résultat :

- Le pape saint Libère.
La Vierge Marie lui apparaît dans un songe dans la nuit du 4 et du 5 aout, lui demandant de construire une chapelle. La même nuit, selon l'histoire ecclésiastique, il y a une chute de neige miraculeuse sur les sept collines de Rome. Il achève la construction de la basilique Sainte-Marie-Majeure deux années plus tard. Cette basilique majeure de Rome est appelée basilique libérienne.

- Basilique situé sur un ancien temple dédié à la déesse Cybèle :
Cybèle (en grec ancienΚυϐέλη / Kybélê signifiant" gardienne des savoirs "

La basilique Sainte-Marie majeure est décoré de riches mosaïques , parmi celles-ci  :

Le voyage de l'Arche d'alliance

http://jfbradu.free.fr/mosaiques/germigny/decouvertes/02rome.htm 

Mais également, cette mosaïque-ci, qui trouve sa corrélation exacte avec le mot-clef pasteur :

 https://www.google.fr/search?q=basilique+sainte+marie+majeure+mosa%C3%AFque+des+douze+brebis&tbm=isch&source=iu&ictx=1&fir=SFnoVxMR3V1vQM%253A%252CcfwJuIy-l1tioM%252C_&usg=__Z4lQASbWhriC-67m7RXdHn-PdjI%3D&sa=X&ved=0ahUKEwjF7JqNwsHaAhUBbhQKHUybDYQQ9QEIMjAE#imgrc=SFnoVxMR3V1vQM:

Dans le bas, les villes de Jérusalem et Bethléem symbolisent la synthèse de toute l'histoire du salut: Bethléem, ville du roi David dont la descendance donnera naissance au Messie
,  
  Jérusalem, ville de la mort et de la résurrection de Jésus-Christ, est le point de départ d'un   nouveau parcours pour l'humanité. Les douze brebis, réparties en groupe de six de chaque côté,se trouvent au seuil des portes des deux villes et symbolisent clairement le nouveau peuple de Dieu qui est guidé par Jésus, le Bon Pasteur, et qui avance sur le chemin du Salut.  

   Et puisqu'il est question ici de sens  caché, nous ne saurions passer sous silence la présence sur la même page 058 du mot " sod " :

  https://fr.wikipedia.org/wiki/Sod_(Kabbale)  

Ainsi revenons-nous vers le pape Libère.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Saint-Livres

Etant donné que j'ai de la suite dans les idées, je ne peux que souscrire à ce résultat que je tiens pour acquis.
Pour mémoire, voici ce que j'écrivais en 2011, vis à vis du sens caché des lettres noun inversées, en l'église Saint-Sulpice de paris :

Extrait ancien blog Rennes-le-Château palimpsesta :

Respectons ce qui nous est suggéré , dans l'alphabet hébraïque, la lettre noun est la quatorzième lettre,le N , le lecteur pourra visualiser cette lettre et remarquer sa forme , mais surtout retenir ceci, qui ne fait appel à aucune autre matière que la tradition : Dans un de ses ouvrages Marc-Alain Ouatkin fait état de deux versets ( Nombres 10-35 - 10-36 ) comportant en ouverture et en fermeture deux nounim, ou lettres noun, 14 ème lettre de l'alphabet hébraïque, lettre N , qui sont inversées, ceci dans le respect de la tradition. Ces deux versets se réfèrent au voyage de l'Arche d'Alliance .




 


              Ces deux versets contiennent, à eux deux, 85 lettres. Dans un passage du talmud (Traité Chabbat pp115-116) mais aussi dans un midrach plus complet qui sera mis en ligne dès que possible , la signification de cette singularité est discutée. Selon l'un des sages cités dans ce texte talmudique, ce passage constitue à lui seul un livre. Cela signifie qu'il suffit de 85 lettres pour faire un livre. On en déduit que les prescriptions de la tora concernant les livres (par exemple : tu sauveras les livres sacrés d'une synagogue en feu, même le jour du chabat) s'appliquent à tout texte qui contient au moins 85 lettres.
U    Une seconde traduction de ces signes noun inversé est que par les techniques de la kabbale, il est possible de construire un texte à part entière, un nouveau Livre, qui serait, lui , LE LIVRE CACHE. Par la suite, nous allons voir que ce concept de Livre caché est un des éléments clefs lié à l'énigme de Rennes-Le-Château, et que nombre de nos acteurs , et parmi eux Pierre Plantard, y font référence, bien évidemment dans l'ombre des apparences...Nous verrons également comment l'inscription ouvrant la Chapelle des Anges et la référence au Psaume LXVIII s'inscrivent dans la résolution des deux N ou noun inversées. Là est l'idée de cercle, du moins une de ses acceptions...Mais revenons à l'exégèse de ces deux versets : Les "Nounim" réalisent une coupure dans le livre des Nombres, ou se produit comme un éclatement du livre en trois livres qu'on pourrait appeler: Bamidbar 1 verset 1 au chapitre 10, Bamidbar 2, verset 35 et 36 du chapitre 10; Bamidbar 3, chapitre 11 a la fin du livre.
Ainsi, la Thora ne serait plus un pentateuque (cinq livres) mais un heptateuque (sept livres).
Cette tradition des sept livres, moins connue que celle des cinq livres, est cependant confirmée par un enseignement de Rabbi Chmouel bar Nahmani, au nom de Rabbi Yonathan.

'Que signifie le verset 1 chapitre 9 du livre des proverbes:
"La sagesse a construit sa maison, elle a taille ses piliers au nombre de sept" ? Ce sont les sept livres de la Thora!

L'éclatement du livre de Bamidbar nous met sur le chemin de l'idée de transcendance et d'expérience de la pensée de l'infini.
La Thora est donc le lieu du paradoxe, elle recueille l'Infini (Tsimtsoum), mais dévoile immédiatement son incapacité a cet accueil en montrant que l'infini ne peut se laisser englober, ne peut se laisser enfermer en une présence sur laquelle on pourrait avoir une quelconque emprise.
Il y a alors débordement, et plus, éclatement du livre en trois livres. "


Conclusion provisoire : la présence de l'Arche d'alliance serait donc ici pour souligner l'existence dans une des caches de Rennes-les-Bains d'ouvrages de nature scripturaire.
Au demeurant il n'est pas impossible que les deux composantes liées à cette arche ( présence physique de l'artefact et présence physique d'écrits - sans doute apocryphes -) existent.

Revenons à la VLC :

Mot arche page 049 - dans le texte de l'abbé Boudet il est question de l'arche de Noé.
Mais une arche peut en cacher une autre : page 049 = 04 septembre = fête de saint Moïse.

https://nominis.cef.fr/contenus/prenom/3724/Moise.html

Prenons un autre mot-clef, O combien opportun - le mot géographe - celui-ci apparaît notamment page 282.
Page 282 = 28 février.

Le 28 février 1579 est signé le traité de Nérac.
Nérac près du village d'Espiens, ou officia l'abbé Huguet, qui plus tard fut un ardent défenseur de Bérenger Saunière...

Village ou officia en son temps un personnage trouble du nom de Maximilien Théodore Chrétin.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Maximilien_Th%C3%A9odore_Chr%C3%A9tin

Bien évidemment, l'information intéressante ici est la mention de Germigny-des-Prés.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Oratoire_carolingien_de_Germigny-des-Pr%C3%A9s#La_mosa%C3%AFque_byzantine

Nous verrons par la suite comment l'abbé Boudet nous invite à une sorte de pérégrination initiatique, un jeu de pistes qui voit se déployer nombre d'acteurs, parmi lesquels l'énigmatique Maître de Cabestany.

En ce 18 avril 2018 - alain COCOUCH