mercredi 28 août 2019

CIRCUIT



Parmi les diverses publications à mettre au crédit de ce qu'il est convenu de nommer la fine équipe, figure un tapuscrit déposé en 1967 en bibliothèque sous la signature de Philippe de Cherisey : CIRCUIT

Un avertissement figure en page 03 de ce tapuscrit :

Page 3 : « Le lecteur qui voudrait découvrir un second CIRCUIT ?sous circuit peut restituer les chapitres dans l’ordre des couplets. D’autres structures ont été envisagées que nous laissons au lecteur la joie de découvrir lui-même. »

Avant de porter la lumière je l'espère dans vos esprits, il convient de ne pas succomber à la vulgate, et d'appréhender ce matériel sous un regard neuf, et ceci envers et contre toutes les manipulations auxquelles le trio semble s'être livré, et dont la dernière en date '' De pierre et de papier'' se revendiquant comme étant le testament du divin marquis ( De Cherisey )

Adonc, prenons pour sérieux le contenu de ce tapuscrit et posons-nous la question : ce circuit peut-il dissimuler un second circuit ? 

Je vous présente donc ce second circuit :

https://libretheatre.fr/le-circuit-de-georges-feydeau/

Le lecteur curieux ou détendu  peut se rendre sur l'acte II lorsqu'il est question de pièce secrète qui permet de voir sans être vu à l'intérieur d'un château.
Il est question de citerne également.
Un plan de la citerne de Rennes-le-Château est à disposition sur le site renne-le-chateau.com
Nous savons également que Béranger Saunière s'était ménagé une telle pièce secrète au sein de son église.

Poursuivons notre étude de la pièce de théâtre de Feydeau - et là je place le résultat de mes recherches :

Le Théâtre des Variétés à Paris se situe à la longitude de 02° 20 ' 31'' Est, ce qui correspond à un site très proche du référent parisien dont je vous entretiens depuis que j'ai repris ma restitution.

- le nom de l'héroïne Phèdre ne peut qu'interroger pour ce qu'il est convenu d'appeler une pièce de boulevard - Phèdre renvoie à son auteur Jean Racine inhumé en l'église Saint-Etienne du Mont à Paris - longitude 02° 20' 53'' Est dont je vous ai entretenu dans le passé, église au demeurant abritant également la dépouille du célèbre cryptographe Blaise de Vigenère, dont le lien avec l'énigme n'est plus à démontrer.

Dans Circuit de Georges Feydeau il est question toujours concernant cette pièce secrète de '' Chambre ardente '' …

Ce que recouvre ce nom :

https://fr.wikipedia.org/wiki/Chambre_ardente_(tribunal)

Bien évidemment, le fait que Nicolas Fouquet ait été jugé par cette instance ne peut que nous faire signe.

Ce tribunal eut à juger l'un des scandales politico-judiciaires ( déjà ) se déroulant sous le règne de Louis XIV : l'affaire des poisons mettant en cause au-delà de certaines personnalités du grand monde de l'époque La Voisin, empoisonneuse, qui fut brûlée vive le 22 février 1680 en place de Grève à Paris.

22 février = 222 voir mon précédent texte et ce à quoi celui-ci renvoie.
222 c'est également la page de la Vraie Langue Celtique de l'abbé Boudet ou il est fait mention d'une bulle de Calixte II, dont j'ai déjà écrit que le banc de la grotte du calvaire de Rennes-le-Château et sa mystérieuse inscription renvoyait à l'exercice du pontificat de ce pape, ceci en associant chaque lettre à sa valeur numérique.

Passons à cette fresque dont il est question dans Circuit de Feydeau et qui met en scène deux Licornes et le dispositif associé à la corne de cet animal fabuleux.

La tentation serait grande de verser dans une justification symbolique de la présence de ces Licornes, et bien sûr nous ne pouvons passer sous silence la tapisserie La Dame à la Licorne.
Il conviendrait ici de faire un détour vers George Sand et Bourganeuf ou cette tapisserie fut un temps.

De manière plus prosaïque, car, n'est-ce pas, nous sommes bien dans une chasse au trésor, ou certains jalons posés correspondent à des informations d'ordre géographique, et peut-être ne se résument qu'à cela, il existait à Paris une rue de la Licorne :

https://fr.wikipedia.org/wiki/Rue_de_la_Licorne

Je signale ici le second point de longitude dont je vous entretiens depuis quelques mois 02° 20' 53'' Est.

La rue près le chevet de la Magdeleine, associée à la rue de la Licorne s'imposait !

Et puisqu'il est question de Licorne, je vous propose un saut temporel dans l'univers d'Hergé et '' Le secret de la Licorne '' vers lequel je reviendrais un jour.
Cet aparté est bien sûr indépendant de la pièce de Feydeau, question de cohérence de dates, je veux juste souligner ici la redondance de ce qui suit :

Pour être clair il y a une exploitation par Georges Feydeau de la rue de la Licorne pour sa longitude et son historique, et une exploitation du vaisseau Le Brillant de la part de Hergé pour le lien avec l'église saint-Germain l'Auxerrois : 


Dans la bande dessinée le vaisseau La Licorne s'inspira du navire Le Brillant dont la décoration de la poupe et de la proue fut l'œuvre du sculpteur jean Bérain père, qui fut inhumé en l'église Saint-Germain l'Auxerrois que je ne présente plus pour le rapport étroit qui lie cette église à l'énigme, en particulier sa longitude de 02° 20' 28'' Est, ainsi que pour l'historique de la rue du même nom Rue des Corroyeurs ( cf page 156 de la Vraie Langue Celtique pour 15 juin date anniversaire de la naissance de Nicolas Poussin ) .

Je termine cette intervention en reprenant à mon compte le conseil au lecteur  prodigué par Philippe de Cherisey.

Je garde par devers moi certains éléments trop directs…

alain COCOUCH













vendredi 23 août 2019

DE QUELQUES EXEMPLES ...



   ...destinés à dessiller les yeux de mes contemporains.

   Invoquons donc sainte Lucie, patronne des aveugles…

   Parmi les éléments de décor de l'église de Rennes-le-Château posant question quant au message que celui-ci pourrait contenir figure la Fresque surplombant le confessionnal et la phrase inscrite en-dessous de celle-ci : VENEZ A MOI VOUS TOUS QUI SOUFFREZ  ET QUI ETES ACCABLES ET JE VOUS SOULAGERAI - phrase qui semble emprunté à l'évangile de Mathieu 11-28.

   Cette phrase comporte, ainsi que certains l'ont déjà remarqué 63 lettres.
   Suivant le protocole dont j'ai établi les bases au début de ma période de recherche actuelle, reposant sur une communication via certaines dates de différents calendriers, je suis en mesure de vous révéler les résultats qui en découlent.

   63 lettres en terme de date = 06 mars.
   Mais avant toute chose une illustration semble nécessaire pour cela rendez-vous sur cette page :

  http://www.lecoindelenigme.com/saints-RLC-suite5.htm

  
Sur cette date nous obtenons :

    • Savinien Cyrano de Bergerac né à Paris rue Dussoubs ( anciennement rue des 2 portes ) - indice qui a peut-être ici toute son importance.
    • La rue des deux portes a pour longitude 02° 20' 53'' Est.

    • Jehan du seigneur sculpteur – a créé une médaille représentant Gérard de Nerval     ( celui-ci s'est pendu à l'angle de l'église St Jacques de la boucherie aujourd'hui ne subsiste que la tour St. Jacques ) longitude 02° 20' 53'' Est.

    • Le 06 mars est la date de la fête de sainte Rose de Viterbe – certains ont voulu voir dans la fresque surmontant la phrase  sainte Roseline en relation avec la '' rose ligne '' chère à l'ésotérisme.
      Mais une rose n'est jamais seule :

    • Les noms de Jésus et Marie furent les premiers mots qui sortirent de la bouche de cette candide créature.
      Elle avait trois ans lorsque Dieu manifesta sa toute-puissance en ressuscitant par son intermédiaire une de ses tantes qu'on portait au cimetière.
      Lorsqu'elle fut capable de marcher, elle ne sortait que pour aller à l'église ou pour distribuer aux pauvres le pain qu'on lui donnait.
      Un jour son père la rencontra en chemin et lui demanda d'ouvrir son tablier pour voir ce qu'elle portait.
      Ô prodige ! Des roses vermeilles apparurent à la place du pain.

    • Poursuivons sur les résultats du 06 mars :

      Michel de Marolles – abbé de Villeloin – qui a la particularité d'être né le 22 juillet 1600 et d'être décédé en 1681 ( 22 juillet fête de Marie-Madeleine)
    • L'abbaye de Villeloin est intéressante à plus d'un titre, au premier rang l'un de ses abbés :

    • Robert de Lenoncourt (né en 1510 et mort le 02 février 161), qui fut abbé de Villeloin entre 1551 et 1557 fut aussi comte-évêque de Châlons-en-Champagne et de Metz, archevêque dEmbrun, d'Auxerre, de Sabine, d'Arles et de Toulouse. Il était déjà cardinal depuis 1538.        

    •   Pour les néophytes De Lénoncourt est une signature à rattacher à l'époque dite moderne de l'énigme de Rennes-le-Château Le dossier Lobineau :

  •           Henri Lobineau » serait un pseudonyme, dérivé de la « rue Lobineau » située près de la rue Saint-Sulpice à Paris.  Le Prieuré de Sion a édité des textes dans les années 70 affirmant que Henri Lobineau était un aristocrate français : Henri, Comte de Lénoncourt.  
                    Demeurons dans cette période moderne :Présenté comme l'un des auteurs de l'opuscule ''Le Serpent Rouge  '' Gaston de Koker mit fin à ses jours le 06 mars 1967.
Précisons que Gaston de Koker était domicilié rue de Sannois au 118 à Ermont - or Cyrano de Bergerac acheva son existence dans la commune de Sannois...

                    Enfin, la date du 06 mars est à mettre en relation avec l'église saint Germain l'Auxerrois de Paris dont je vous ai déjà entretenu : 


                   Elle est citée dans Le Dit des rues de Paris de Guillot de Paris sous la forme « rue Saint-Germain à Couroiers », sans doute parce qu'il y avait alors des corroyeurs le long de la Seine...  

 Le lien internet ayant disparu alors même que je l'ai consulté il y  a peu je m'en remets à ce texte ci-dessous que j'avais recopié en partie.  

Source l'ami de la religion et du Roi – 1815.
    • Le lundi 06 mars on célèbrera dans l'église St Germain l'Auxerrois une messe du Saint Esprit bénédiction de Dieu aux enfans la Providence
Certains esprits chagrins pourraient croire que, recoupant des éléments dont l'origine ,dans l'affaire qui nous occupe , serait associée à Pierre Plantard, je me sois égaré dans les méandres de celle-ci.

Inversez donc le raisonnement, ainsi que je l'ai déjà recommandé - et si derrière le rideau des apparences ( la mystification plantardienne de la filiation des Mérovingiens ) se dissimulait le message réel menant à une certaine vérité ? 

Poursuivons sur la date d'inauguration de l'église restaurée le 06 juin 1897 lors de la visite pastorale de Monseigneur Billard.

Au 06 juin 1897 correspond dans le calendrier juif le 06 sivan qui est la date de la fête de Shavouot, la Pentecôte juive : 

- Shavouot est mentionnée pour la première fois comme la fête de la moisson du blé.

- A cette fête est associée le don de la Torah sur le mont Sinaï.

Je terminerai cette étude en présentant un élément du cryptogramme de l'Aiguille Creuse :

Résultat de recherche d'images pour "cryptogramme aiguille creuse"

Une double  série de trois chiffres Deux ( 1ère deuxième troisième ligne en vertical ) formant un V.

En convertissant vers le calendrier républicain - 222 = 23 octobre 1793.

A cette date du 23 octobre 1793 nous trouvons une occurrence sur un artiste-peintre du 18ème siècle :

On le surnommait « Robert des Ruines », mais Hubert Robert n’a jamais eu de titre nobiliaire – il était fils de valet de chambre. Et son nom l’a sauvé, mais on racontera l’histoire plus tard, pendant la visite. En tout cas Robert aimait les ruines, ça oui, d’autant qu'il les fabriquait lui-même. Il avait une soif inextinguible de peindre, de dessiner, d’inventer des temples, des voûtes, des péristyles, des ponts… en ruines. Même quand il est arrêté dans son élan pour être incarcéré à la prison parisienne de Sainte-Pélagie, le 23 octobre 1793, avant d'être conduit à celle de Saint-Lazare (il occupait des fonctions officielles pour la famille royale, ce qui n’était pas bien vu du tout pendant la Terreur).

Artiste-peintre qui en qualité d'architecte cette fois participa à la création du parc Jean-Jacques Rousseau à Ermenonville :

http://www.ccr-parc-rousseau.fr/le-jardin/le-jardin-et-les-arts-2/

Une promenade virtuelle s'impose ici, avec un peu de chance vous pourrez gambader dans la prairie arcadienne, apercevoir un dolmen...et pourquoi pas un souterrain ?

A suivre - alain COCOUCH

P.S : Concernant Maurice Leblanc et la calendrier républicain voir la nouvelle : '' Le signe de l'ombre'' dans Les Confidences d'Arsène Lupin.

Le Signe de l'ombre, publication initiale in Je sais tout n° 77, 15 juin 1911, sous le titre Les Confidences d'Arsène Lupin.

Désolé pour la couleur de police de certaines phrases - il y  a comme un bug...




 

mercredi 7 août 2019

EGLISE DE RENNES LE CHATEAU : LE GRAAL




Bonjour à toutes et à tous,



Quelques nouvelles avant tout : je ne serais pas en mesure de tenir le cycle de conférences que j'avais prévu ceci pour deux raisons principales :



- Je n'ai pas achevé la rédaction de celle-ci - à minima je serais en mesure de dresser devant le public un état synthétique concernant mes travaux mais tout  mon argumentaire recoupant diverses sources et matériels ne pourrait être exposé. Par ailleurs j'ai la partie iconographique illustrant mon propos à créer encore.



- Je ne suis pas prêt à divulguer la solution pour une raison bien compréhensible : je ne tiens pas à ce qu'un territoire sacralisé depuis des siècles et abritant ce que nous allons voir bientôt ne soit livré aux appétits ou à l'avidité de certains.

Cela étant je vous demande un peu de patience: tout vient à son heure.
Et pour l'heure je vais me faire porteur de lumière vis à vis du GRAAL de l'église
Celui-ci est présent en tant que signe dans l'église.



LE GRAAL DANS L'EGLISE DE RENNES LE CHATEAU

Extrait du site rennes le château la révélation

Le Graal serait donc dans l’église de ce petit village audois… Effectivement pour qui sait ouvrir les yeux, il est étonnant de constater que l‘ensemble des premières lettres du prénom des statues de l’église forme le mot G.R.A.A.L !
Les statues :
Sainte Germaine => G Saint Roch => R Saint Antoine de Padoue => A Saint Antoine l’Ermite => A Saint Luc, dans la chaire => L Nous reviendrons ultérieurement sur Luc car ce L est la moins évidente des autres lettres.
Si nous relions toutes ces statues sur un plan de l’église, nous constatons qu’elles forment un M et qu’au sommet de ce M nous voyons la statue de Marie Madeleine (Sainte à laquelle l’église de Rennes-le-Château est dédiée).
L'efficience du protocole d'analyse par les occurrences des dates anniversaires et les résultats produits, dont la récurrence n'est plus à prouver trouve dans l'église de Rennes le Château toute son expression.

Il s'agit pour cela de procéder par l'intermédiaire des dates de fête concernant chacun des cinq saints.

Débutons par saint Luc fêté le 18 octobre – en effet miroir nous obtenons en l'an 1009 la destruction du Saint-Sépulcre de Jérusalem.

Saint-Antoine de Padoue fêté le 13 juin – en effet miroir nous obtenons la date anniversaire du décès en 1871 d'un acteur local de l'énigme à savoir Antoine Gay qui fut un compagnon de Joseph Chiron, lesquels entretinrent un rapport certain avec la l'ermitage de Galamus et Notre-Dame du Cros dans le département de l'Aude.( ceci devrait apporter de l'eau au moulin du chercheur Franck Daffos à qui nous devons sa découverte sur ce saint (statue de Saint Antoine de Padoue présentée par ce chercheur avec une  ressemblance indéniable avec Joseph Chiron, un des acteurs régionaux de l'Enigme )

A souligner à Note-Dame du Cros une Piéta d'après Annibale Carracci décédé le 15 juillet 1609 -Il est plus que troublant que l'effet miroir ici se manifeste par: le choeur des Croisés de l'église du Saint Sépulcre de Jérusalem est consacré le 15 juillet 1149.


Saint Antoine ermite fêté le 17 janvier.
Nous passons sur cette date mythique du 17 janvier car tout ou presque a été écrit sur ce sujet.

Saint Roch fêté le 16 août – en effet miroir nous obtenons :

    • Pierre Méchain né le 16 août 1744 - particularité a travaillé pour  observatoire de Paris – Bureau des Longitudes.
    •  En 1153 décès de bernard de Tramelay Grand Maître de l'Ordre du temple.

Sainte Germaine de Pibrac fêtée le 15 juin
Vierge, Bergère, patronne des bergers, des faibles, des malades et des déshérités (1579-1601) :
En effet miroir nous obtenons la date anniversaire de nicolas Poussin dont le tableau '' Les bergers d'Arcadie '' est comme nous le savons étroitement relié à l'énigme.
Ce dispositif nous raconte une histoire :

Sainte Germaine par son double nicolas Poussin fait bien évidemment référence à l'oeuvre du peintre mais également ce que nous avons déjà exploré à savoir la rue Saint Germain l'Auxerrois ( anciennement rue des Corroiers :
Selon Jaillot un diplôme de Louis le Débonnaire de 820, fait mention d'un chemin qui conduisait du Grand-Pont  à l'église Saint-Germain-l'Auxerrois. Ce chemin était un vestige d'une ancienne voie romaine qui menait de Lutèce à Nanterre. C'est sur ce chemin que l'on commença à bâtir cette rue.
Elle est citée dans Le Dit des rues de Paris de Guillot sous la forme « rue Saint-Germain à Couroiers », sans doute parce qu'il y avait alors des corroyeurs le long de la Seine
  et son église à 02° 20' 28'' Est ( pour cela il s'agit de me relire )

L'occurence sur pierre Méchain face par saint Roch à sainte Germaine est là pour signifier la longitude.

La référence à l'Ordre du Temple est présente 

Le renvoi sur la destruction du Saint-Sépulcre de Jérusalem en 1009 par l'intermédiaire de la fête de saint Luc concerne la nature d'une des caches de Rennes-les-Bains et la nécropole ou le tombeau qui s'y trouve.

Lecture dynamique du GRAAL de l'Eglise de Rennes-le-Château

Il est à remarquer la cohérence de deux des résultats autour du Saint Sépulcre de Jérusalem.

Le premier ou le lien est direct.
Le second ou le lien s'établit par la présence de la date anniversaire du décès d'antoine GAY compagnon du père Joseph CHIRON et Notre-Dame du Cros ou se situe une Pieta d'après Annibale Carracci, lequel par sa date anniversaire de décès un 15 juillet correspond au choeur de l'église du Saint Sépulcre consacré en 1149 suite à la reprise du site par les croisés.

Le premier résultat ( St.Luc – fête le 18 octobre ) correspond à la prise et la destruction de l'église du Saint Sépulcre en l'année 1009.
Ces deux résultats qui se font face dans l'église se doivent d'être lus à part du reste du message d'ordre géographique.
Une chronologie d'évènements paraît ici se déployer et pourrait tendre vers un message : et si forts du constat d'avoir subi les assauts et la perte du lieu sacré, ce qui équivaut pour la chrétienté à une profanation, et voulant éviter qu'un même outrage ne se reproduise les autorités chrétiennes aient décidé avec le concours de l'Ordre du Temple ( voir occurrence sur Bernard de Tramelay ) de transférer la dépouille dans le Razès ?

 alain COCOUCH- le 07 août 2019

P.S  1 Je suis contraint de passer sous silence certains résultats fruits de cette étude.
Ceux-ci étant en relation avec le référent parisien - ainsi de Marie-Madeleine dont j'ai déjà écrit que sa présence pouvait s'expliquer parce qu'en relation avec le référent parisien.

Si vous m'avez suivi la fête de Marie-Madeleine est le 22 juillet, et donc un lien se fait sur cette date, le tout est de savoir quelle année ? et en quel endroit ?

P.S 2 L'idée que certains voire le plus grand nombre se fait concernant Pierre Plantard et Philippe De Cherisey est fausse !
Je sais aujourd'hui suite à une étude récente que je viens de clore sur le jardin du calvaire de l'église et la fresque du confessionnal ( la montagne fleurie ) pourquoi certains noms ont été incorporés dans des publications.








mardi 9 avril 2019

A PROPOS DE L'INSCRIPTION DE SHUGBOROUGH



Bonjour,

Le lecteur attentif qui me fait le plaisir de m'accorder quelque attention, sait à quel point l'Enigme de Rennes-le-Château contient de jalons qu'il convient de bien comprendre pour en mesurer toute l'étendue signifiante.

Ainsi de la fameuse inscription de Shugborough :


vignette




Je ne vais livrer ici que les résultats obtenus par une lecture succinte des lettres apparaissant sur cette inscription : La lettre D - la lettre M - le mot VAV ( c'est un mot enfin c'est une lettre ).

Si l'on admet que nous soyons face à un code composite, mêlant deux ressources , rien ne nous interdit de penser ces lettres dans leur acception hébraïque, d'autant plus quand l'une d'entre elles est écrit en toute lettre : VAV - 06 ème lettre de l'alphabet hébreu - sens : crochet, clou, clé. qui a produit pour ce qui nous intéresse ici la lettre V de notre alpahabet ( en plus d'autres lettres )

Le fait que cette lettre VAV écrite en clair précède la lettre V de l'inscription pourrait signifier que celle-ci est en quelque sorte la clef.

Laquelle clef sera dévoilée en son temps.

Poursuivons la lecture le D décalée vers le bas donc isolé de la ligne d'écriture est la lettre Daleth qui est aussi dans son sens premier la Porte.

Quant à la lettre M finale décalée elle aussi signifierait la lettre Mem dont le premier mot hébreu le plus proche est maïm ( les eaux ).

Maïm est un mot composé de mi  qui regarde son reflet inverse im pour nous enseigner que dans chaque question se trouve le reflet d'une autre question.

Nous aurions donc ainsi  le message suivant :

La clef de la porte des eaux.

Ici, il convient de se tourner vers l'Orient, en l'occurence Jérusalem :


     Tout le peuple se rassembla comme un seul homme sur la place située devant la Porte des eaux. On demanda au scribe Esdras d'apporter le livre de la loi de Moïse, que le Seigneur avait  donnée à Israël. Alors le prêtre Esdras apporta la Loi en présence de l'assemblée, composée des hommes, des femmes, et de tous les enfants en âge de comprendre. C'était le premier jour du septième mois.

     Esdras, tourné vers la place de la Porte des eaux, fit la lecture dans le livre, depuis le lever du jour jusqu’à midi, en présence des hommes, des femmes, et de tous les enfants en âge de comprendre : tout le peuple écoutait la lecture de la Loi. Le scribe Esdras se tenait sur une tribune de bois, construite tout exprès.

     Esdras ouvrit le livre : tout le peuple le voyait, car il dominait l'assemblée. Quand il ouvrit le livre, tout le monde se mit debout. Alors Esdras bénit le Seigneur, le Dieu très grand, et tout le peuple, levant les mains, répondit : « Amen! Amen! » Puis ils s'inclinèrent et se prosternèrent devant le Seigneur, le visage contre terre. Esdras lisait un passage dans le livre de la loi de Dieu, puis les lévites traduisaient, donnaient le sens, et l'on pouvait comprendre.

     Néhémie le gouverneur, Esdras qui était prêtre et scribe, et les lévites qui donnaient les explications, dirent à tout le peuple : « Ce jour est consacré au Seigneur votre Dieu! Ne prenez pas le deuil, ne pleurez pas ! » Car ils pleuraient tous en entendant les paroles de la Loi.
(Néhémie 8, 1-6.8-9)
Certes me direz-vous mais quid du lien avec Rennes le Château ?

J'ai écrit en ouverture que nous étions face à un code composite.
Pour le reste du décodage j'ai exploité la méthodologie que l'on m'a enseigné et travaillé sur les huit lettres de l'inscription principale :

  Trois résultats mènent à Nicolas Fouquet ( deux résultats directs 1 )  Production de Mr. Fouquet - source 1667 - un second résultat menant à Servien - et un troisième menant à un membre de sa famille ) 


Trois autres résultats mènent à la personnalité choisie  comme référent historique et géographique par l'ensemble des Initiés à l'Enigme ( deux résultats indirects mais qui mènent à la solution quand l'éclairage sera fait en son temps - un résultat direct menant à la personnalité en question.)

alain COCOUCH

Pour un éventuel commentaire :

alain.cocouch@gmail.com



jeudi 14 mars 2019

Troisième niveau de lecture de la Vraie Langue Celtique


Bonjour,

Je vais faire court.

Cette petite transgression au silence que je me suis imposé le temps de rédiger le texte de ma prochaine conférence.

Pour celles et ceux qui m'ont suivi jusque là et que je remercie, la méthodologie de correspondances par les dates anniversaires du calendrier s'opérait selon deux modalités que je rappelle : un mot-clef dans la VLC de Boudet pointait vers un numéro de page ( ex : 171 ) numéro de page que je traduisais ensuite en date anniversaire ( 171 = 17 janvier ) - seconde modalité : une série de trois chiffres ( ex : 681 -  de PAX 681 ) que je traduisais en 06 ème jour du 08 ème mois de l'an 1 de la République (calendrier républicain ) avec pour résultat après conversion  la date du 25 avril ( anniversaire de la date de décès  de David Teniers Le Jeune.)

Voici la troisième modalité ( nouveau palier d'initiation ) qui me donne des frissons.

Donc le mot " conversion " s'imposait de lui-même.

Mot-clef conversion dans la VLC de Boudet est présent une unique fois page 265.

Conversion 2/6/5 - 2ème jour du sixième mois de l'an 5 = 20 février 1797.

Cette fois c'est le résultat dans son entièreté qui est à prendre - jour mois année - le 20 février 1797 s'ouvre le procès de Gracchus Baboeuf - personnalité de la Révolution française.

Quant au numéro de page ( 265 ) traduit en date du calendrier grégorien donne pour résultat le 26 mai ( 26 ème jour du 05 ème mois de l'année ) - le 26 mai 1797 ( donc là nous sommes sur un résultat jour mois - date anniversaire ) Gracchus Baboeuf est condamné à mort...

Pourquoi ce résultat sort est encore pour quelques mois de l'ordre du secret.

Hergé dans l'album Les 7 boules de cristal va utiliser le même procédé de cryptage.
Les 7 boules de cristal est suivi par le Temple du soleil ( tonalité thématique Inca )
Dans une des cases de l'album une voiture avec une plaque d'immatriculation à six chiffres = deux séries de trois chiffres.
Modalité jour mois ( date anniversaire )

317 413

317 convertie calendrier républicain = 24 septembre 1572 Tupac Amaru dernier empereur Inca est exécuté.

413 convertie calendrier républicain = 25 septembre - en 1493 Christophe Collomb quitte Cadix pour son second voyage.

Revenons à l'abbé Boudet.
Bien évidemment lorsque j'ai obtenu ce résultat j'ai testé d'autres pages déjà travaillées en modalité jour/mois, sans être systématique et on peut le comprendre tant l'exercice paraît difficile, cela fonctionne :

Exemple :  page 222 de la Vraie Langue Celtique - choix de cette page à cause de la présence du pape Calixte II - = 23 octobre 1793 date qui va nous mener à Notre-Dame de Paris - ce jour là:


Ensembles sculpturaux : Arrêté du 2 brumaire an II ( 23 octobre 1793 ) de la commune de Paris.

Le Conseil, considérant qu'il est de son devoir de faire disparaître tous les monuments qui alimenteraient les préjugés religieux et ceux qui rappellent la mémoire exécrable des rois, arrête que dans huit jours, les gothiques simulacres des rois de France, qui sont placés en haut du portail Notre-Dame, seront renversés et détruits. 
 

(A vrai dire cette galerie de rois, qui fut effectivement détruite, représentaient les rois de Juda et non les rois de France.)

Voici qui ouvre des perspectives...

alain COCOUCH