Bonjour à toutes et à tous,
Quelques nouvelles avant tout : je ne serais pas en mesure de tenir le cycle de conférences que j'avais prévu ceci pour deux raisons principales :
- Je n'ai pas achevé la rédaction de celle-ci - à minima je serais en mesure de dresser devant le public un état synthétique concernant mes travaux mais tout mon argumentaire recoupant diverses sources et matériels ne pourrait être exposé. Par ailleurs j'ai la partie iconographique illustrant mon propos à créer encore.
- Je ne suis pas prêt à divulguer la solution pour une raison bien compréhensible : je ne tiens pas à ce qu'un territoire sacralisé depuis des siècles et abritant ce que nous allons voir bientôt ne soit livré aux appétits ou à l'avidité de certains.
Cela étant je vous demande un peu de patience: tout vient à son heure.
Et pour l'heure je vais me faire porteur de lumière vis à vis du GRAAL de l'église
Celui-ci est présent en tant que signe dans l'église.
LE GRAAL DANS L'EGLISE
DE RENNES LE CHATEAU
Extrait du site rennes
le château la révélation
Le
Graal serait donc dans l’église de ce petit village audois…
Effectivement pour qui sait ouvrir les yeux, il est étonnant de
constater que l‘ensemble des premières lettres du prénom des
statues de l’église forme le mot G.R.A.A.L !
Les
statues :
Sainte
Germaine => G Saint Roch => R Saint Antoine de Padoue => A
Saint Antoine l’Ermite => A Saint Luc, dans la chaire => L
Nous reviendrons ultérieurement sur Luc car ce L est la moins
évidente des autres lettres.
Si
nous relions toutes ces statues sur un plan de l’église, nous
constatons qu’elles forment un M et qu’au sommet de ce M nous
voyons la statue de Marie Madeleine (Sainte à laquelle l’église
de Rennes-le-Château est dédiée).
L'efficience
du protocole d'analyse par les occurrences des dates anniversaires et
les résultats produits, dont la récurrence n'est plus à prouver
trouve dans l'église de Rennes le Château toute son expression.
Il
s'agit pour cela de procéder par l'intermédiaire des dates de fête
concernant chacun des cinq saints.
Débutons
par saint Luc fêté le 18 octobre – en effet miroir nous obtenons
en l'an 1009 la destruction du Saint-Sépulcre de Jérusalem.
Saint-Antoine
de Padoue fêté le 13 juin – en effet miroir nous obtenons la date
anniversaire du décès en 1871 d'un acteur local de l'énigme à
savoir Antoine Gay qui fut un compagnon de Joseph Chiron, lesquels
entretinrent un rapport certain avec la l'ermitage de Galamus et
Notre-Dame du Cros dans le département de l'Aude.( ceci
devrait apporter de l'eau au moulin du chercheur Franck Daffos à qui
nous devons sa découverte sur ce saint (statue de Saint Antoine de
Padoue présentée par ce chercheur avec une ressemblance
indéniable avec Joseph Chiron, un des acteurs régionaux de l'Enigme
)
A
souligner à Note-Dame du Cros une Piéta d'après Annibale Carracci
décédé le 15 juillet 1609 -Il est plus que troublant que l'effet
miroir ici se manifeste par: le choeur des Croisés de l'église du
Saint Sépulcre de Jérusalem est consacré le 15 juillet 1149.
Saint
Antoine ermite fêté le 17 janvier.
Nous
passons sur cette date mythique du 17 janvier car tout ou presque a
été écrit sur ce sujet.
Saint
Roch fêté le 16 août – en effet miroir nous obtenons :
- Pierre Méchain né le 16 août 1744 - particularité a travaillé pour observatoire de Paris – Bureau des Longitudes.
- En 1153 décès de bernard de Tramelay Grand Maître de l'Ordre du temple.
Sainte
Germaine de Pibrac fêtée le 15 juin
Vierge,
Bergère, patronne des bergers, des faibles, des malades et des
déshérités (1579-1601) :
En
effet miroir nous obtenons la date anniversaire de nicolas Poussin
dont le tableau '' Les bergers d'Arcadie '' est comme nous le savons
étroitement relié à l'énigme.
Ce
dispositif nous raconte une histoire :
Sainte
Germaine par son double nicolas Poussin fait bien évidemment
référence à l'oeuvre du peintre mais également ce que nous avons
déjà exploré à savoir la rue Saint Germain l'Auxerrois (
anciennement rue des Corroiers :
Selon
Jaillot
un
diplôme
de
Louis le Débonnaire
de 820, fait mention d'un chemin qui conduisait du
Grand-Pont
à l'église
Saint-Germain-l'Auxerrois. Ce chemin était un vestige d'une
ancienne
voie romaine
qui menait de
Lutèce
à Nanterre.
C'est sur ce chemin que l'on commença à bâtir cette rue.
Elle
est citée dans Le
Dit des rues de Paris
de
Guillot
sous la forme « rue Saint-Germain à Couroiers », sans
doute parce qu'il y avait alors des corroyeurs
le long de la Seine
et son église à
02° 20' 28'' Est ( pour cela il s'agit de me relire )
L'occurence
sur pierre Méchain face par saint Roch à sainte Germaine est là
pour signifier la longitude.
La
référence à l'Ordre du Temple est présente
Le
renvoi sur la destruction du Saint-Sépulcre de Jérusalem en 1009
par l'intermédiaire de la fête de saint Luc concerne la nature
d'une des caches de Rennes-les-Bains et la nécropole ou le tombeau
qui s'y trouve.
Lecture
dynamique du GRAAL de l'Eglise de Rennes-le-Château
Il
est à remarquer la cohérence de deux des résultats autour du Saint
Sépulcre de Jérusalem.
Le
premier ou le lien est direct.
Le
second ou le lien s'établit par la présence de la date anniversaire
du décès d'antoine GAY compagnon du père Joseph CHIRON et
Notre-Dame du Cros ou se situe une Pieta d'après Annibale Carracci,
lequel par sa date anniversaire de décès un 15 juillet correspond
au choeur de l'église du Saint Sépulcre consacré en 1149 suite à
la reprise du site par les croisés.
Le
premier résultat ( St.Luc – fête le 18 octobre ) correspond à la
prise et la destruction de l'église du Saint Sépulcre en l'année
1009.
Ces
deux résultats qui se font face dans l'église se doivent d'être
lus à part du reste du message d'ordre géographique.
Une
chronologie d'évènements paraît ici se déployer et pourrait
tendre vers un message : et si forts du constat d'avoir subi les
assauts et la perte du lieu sacré, ce qui équivaut pour la
chrétienté à une profanation, et voulant éviter qu'un même
outrage ne se reproduise les autorités chrétiennes aient décidé
avec le concours de l'Ordre du Temple ( voir occurrence sur Bernard
de Tramelay ) de transférer la dépouille dans le Razès ?
alain
COCOUCH- le 07 août 2019
P.S
1 Je suis contraint de passer sous silence certains résultats fruits
de cette étude.
Ceux-ci
étant en relation avec le référent parisien - ainsi de
Marie-Madeleine dont j'ai déjà écrit que sa présence pouvait
s'expliquer parce qu'en relation avec le référent parisien.
Si
vous m'avez suivi la fête de Marie-Madeleine est le 22 juillet, et
donc un lien se fait sur cette date, le tout est de savoir quelle
année ? et en quel endroit ?
P.S
2 L'idée que certains voire le plus grand nombre se fait concernant
Pierre Plantard et Philippe De Cherisey est fausse !
Je
sais aujourd'hui suite à une étude récente que je viens de clore
sur le jardin du calvaire de l'église et la fresque du confessionnal
( la montagne fleurie ) pourquoi certains noms ont été incorporés
dans des publications.
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