mercredi 7 août 2019

EGLISE DE RENNES LE CHATEAU : LE GRAAL




Bonjour à toutes et à tous,



Quelques nouvelles avant tout : je ne serais pas en mesure de tenir le cycle de conférences que j'avais prévu ceci pour deux raisons principales :



- Je n'ai pas achevé la rédaction de celle-ci - à minima je serais en mesure de dresser devant le public un état synthétique concernant mes travaux mais tout  mon argumentaire recoupant diverses sources et matériels ne pourrait être exposé. Par ailleurs j'ai la partie iconographique illustrant mon propos à créer encore.



- Je ne suis pas prêt à divulguer la solution pour une raison bien compréhensible : je ne tiens pas à ce qu'un territoire sacralisé depuis des siècles et abritant ce que nous allons voir bientôt ne soit livré aux appétits ou à l'avidité de certains.

Cela étant je vous demande un peu de patience: tout vient à son heure.
Et pour l'heure je vais me faire porteur de lumière vis à vis du GRAAL de l'église
Celui-ci est présent en tant que signe dans l'église.



LE GRAAL DANS L'EGLISE DE RENNES LE CHATEAU

Extrait du site rennes le château la révélation

Le Graal serait donc dans l’église de ce petit village audois… Effectivement pour qui sait ouvrir les yeux, il est étonnant de constater que l‘ensemble des premières lettres du prénom des statues de l’église forme le mot G.R.A.A.L !
Les statues :
Sainte Germaine => G Saint Roch => R Saint Antoine de Padoue => A Saint Antoine l’Ermite => A Saint Luc, dans la chaire => L Nous reviendrons ultérieurement sur Luc car ce L est la moins évidente des autres lettres.
Si nous relions toutes ces statues sur un plan de l’église, nous constatons qu’elles forment un M et qu’au sommet de ce M nous voyons la statue de Marie Madeleine (Sainte à laquelle l’église de Rennes-le-Château est dédiée).
L'efficience du protocole d'analyse par les occurrences des dates anniversaires et les résultats produits, dont la récurrence n'est plus à prouver trouve dans l'église de Rennes le Château toute son expression.

Il s'agit pour cela de procéder par l'intermédiaire des dates de fête concernant chacun des cinq saints.

Débutons par saint Luc fêté le 18 octobre – en effet miroir nous obtenons en l'an 1009 la destruction du Saint-Sépulcre de Jérusalem.

Saint-Antoine de Padoue fêté le 13 juin – en effet miroir nous obtenons la date anniversaire du décès en 1871 d'un acteur local de l'énigme à savoir Antoine Gay qui fut un compagnon de Joseph Chiron, lesquels entretinrent un rapport certain avec la l'ermitage de Galamus et Notre-Dame du Cros dans le département de l'Aude.( ceci devrait apporter de l'eau au moulin du chercheur Franck Daffos à qui nous devons sa découverte sur ce saint (statue de Saint Antoine de Padoue présentée par ce chercheur avec une  ressemblance indéniable avec Joseph Chiron, un des acteurs régionaux de l'Enigme )

A souligner à Note-Dame du Cros une Piéta d'après Annibale Carracci décédé le 15 juillet 1609 -Il est plus que troublant que l'effet miroir ici se manifeste par: le choeur des Croisés de l'église du Saint Sépulcre de Jérusalem est consacré le 15 juillet 1149.


Saint Antoine ermite fêté le 17 janvier.
Nous passons sur cette date mythique du 17 janvier car tout ou presque a été écrit sur ce sujet.

Saint Roch fêté le 16 août – en effet miroir nous obtenons :

    • Pierre Méchain né le 16 août 1744 - particularité a travaillé pour  observatoire de Paris – Bureau des Longitudes.
    •  En 1153 décès de bernard de Tramelay Grand Maître de l'Ordre du temple.

Sainte Germaine de Pibrac fêtée le 15 juin
Vierge, Bergère, patronne des bergers, des faibles, des malades et des déshérités (1579-1601) :
En effet miroir nous obtenons la date anniversaire de nicolas Poussin dont le tableau '' Les bergers d'Arcadie '' est comme nous le savons étroitement relié à l'énigme.
Ce dispositif nous raconte une histoire :

Sainte Germaine par son double nicolas Poussin fait bien évidemment référence à l'oeuvre du peintre mais également ce que nous avons déjà exploré à savoir la rue Saint Germain l'Auxerrois ( anciennement rue des Corroiers :
Selon Jaillot un diplôme de Louis le Débonnaire de 820, fait mention d'un chemin qui conduisait du Grand-Pont  à l'église Saint-Germain-l'Auxerrois. Ce chemin était un vestige d'une ancienne voie romaine qui menait de Lutèce à Nanterre. C'est sur ce chemin que l'on commença à bâtir cette rue.
Elle est citée dans Le Dit des rues de Paris de Guillot sous la forme « rue Saint-Germain à Couroiers », sans doute parce qu'il y avait alors des corroyeurs le long de la Seine
  et son église à 02° 20' 28'' Est ( pour cela il s'agit de me relire )

L'occurence sur pierre Méchain face par saint Roch à sainte Germaine est là pour signifier la longitude.

La référence à l'Ordre du Temple est présente 

Le renvoi sur la destruction du Saint-Sépulcre de Jérusalem en 1009 par l'intermédiaire de la fête de saint Luc concerne la nature d'une des caches de Rennes-les-Bains et la nécropole ou le tombeau qui s'y trouve.

Lecture dynamique du GRAAL de l'Eglise de Rennes-le-Château

Il est à remarquer la cohérence de deux des résultats autour du Saint Sépulcre de Jérusalem.

Le premier ou le lien est direct.
Le second ou le lien s'établit par la présence de la date anniversaire du décès d'antoine GAY compagnon du père Joseph CHIRON et Notre-Dame du Cros ou se situe une Pieta d'après Annibale Carracci, lequel par sa date anniversaire de décès un 15 juillet correspond au choeur de l'église du Saint Sépulcre consacré en 1149 suite à la reprise du site par les croisés.

Le premier résultat ( St.Luc – fête le 18 octobre ) correspond à la prise et la destruction de l'église du Saint Sépulcre en l'année 1009.
Ces deux résultats qui se font face dans l'église se doivent d'être lus à part du reste du message d'ordre géographique.
Une chronologie d'évènements paraît ici se déployer et pourrait tendre vers un message : et si forts du constat d'avoir subi les assauts et la perte du lieu sacré, ce qui équivaut pour la chrétienté à une profanation, et voulant éviter qu'un même outrage ne se reproduise les autorités chrétiennes aient décidé avec le concours de l'Ordre du Temple ( voir occurrence sur Bernard de Tramelay ) de transférer la dépouille dans le Razès ?

 alain COCOUCH- le 07 août 2019

P.S  1 Je suis contraint de passer sous silence certains résultats fruits de cette étude.
Ceux-ci étant en relation avec le référent parisien - ainsi de Marie-Madeleine dont j'ai déjà écrit que sa présence pouvait s'expliquer parce qu'en relation avec le référent parisien.

Si vous m'avez suivi la fête de Marie-Madeleine est le 22 juillet, et donc un lien se fait sur cette date, le tout est de savoir quelle année ? et en quel endroit ?

P.S 2 L'idée que certains voire le plus grand nombre se fait concernant Pierre Plantard et Philippe De Cherisey est fausse !
Je sais aujourd'hui suite à une étude récente que je viens de clore sur le jardin du calvaire de l'église et la fresque du confessionnal ( la montagne fleurie ) pourquoi certains noms ont été incorporés dans des publications.








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