vendredi 23 août 2019

DE QUELQUES EXEMPLES ...



   ...destinés à dessiller les yeux de mes contemporains.

   Invoquons donc sainte Lucie, patronne des aveugles…

   Parmi les éléments de décor de l'église de Rennes-le-Château posant question quant au message que celui-ci pourrait contenir figure la Fresque surplombant le confessionnal et la phrase inscrite en-dessous de celle-ci : VENEZ A MOI VOUS TOUS QUI SOUFFREZ  ET QUI ETES ACCABLES ET JE VOUS SOULAGERAI - phrase qui semble emprunté à l'évangile de Mathieu 11-28.

   Cette phrase comporte, ainsi que certains l'ont déjà remarqué 63 lettres.
   Suivant le protocole dont j'ai établi les bases au début de ma période de recherche actuelle, reposant sur une communication via certaines dates de différents calendriers, je suis en mesure de vous révéler les résultats qui en découlent.

   63 lettres en terme de date = 06 mars.
   Mais avant toute chose une illustration semble nécessaire pour cela rendez-vous sur cette page :

  http://www.lecoindelenigme.com/saints-RLC-suite5.htm

  
Sur cette date nous obtenons :

    • Savinien Cyrano de Bergerac né à Paris rue Dussoubs ( anciennement rue des 2 portes ) - indice qui a peut-être ici toute son importance.
    • La rue des deux portes a pour longitude 02° 20' 53'' Est.

    • Jehan du seigneur sculpteur – a créé une médaille représentant Gérard de Nerval     ( celui-ci s'est pendu à l'angle de l'église St Jacques de la boucherie aujourd'hui ne subsiste que la tour St. Jacques ) longitude 02° 20' 53'' Est.

    • Le 06 mars est la date de la fête de sainte Rose de Viterbe – certains ont voulu voir dans la fresque surmontant la phrase  sainte Roseline en relation avec la '' rose ligne '' chère à l'ésotérisme.
      Mais une rose n'est jamais seule :

    • Les noms de Jésus et Marie furent les premiers mots qui sortirent de la bouche de cette candide créature.
      Elle avait trois ans lorsque Dieu manifesta sa toute-puissance en ressuscitant par son intermédiaire une de ses tantes qu'on portait au cimetière.
      Lorsqu'elle fut capable de marcher, elle ne sortait que pour aller à l'église ou pour distribuer aux pauvres le pain qu'on lui donnait.
      Un jour son père la rencontra en chemin et lui demanda d'ouvrir son tablier pour voir ce qu'elle portait.
      Ô prodige ! Des roses vermeilles apparurent à la place du pain.

    • Poursuivons sur les résultats du 06 mars :

      Michel de Marolles – abbé de Villeloin – qui a la particularité d'être né le 22 juillet 1600 et d'être décédé en 1681 ( 22 juillet fête de Marie-Madeleine)
    • L'abbaye de Villeloin est intéressante à plus d'un titre, au premier rang l'un de ses abbés :

    • Robert de Lenoncourt (né en 1510 et mort le 02 février 161), qui fut abbé de Villeloin entre 1551 et 1557 fut aussi comte-évêque de Châlons-en-Champagne et de Metz, archevêque dEmbrun, d'Auxerre, de Sabine, d'Arles et de Toulouse. Il était déjà cardinal depuis 1538.        

    •   Pour les néophytes De Lénoncourt est une signature à rattacher à l'époque dite moderne de l'énigme de Rennes-le-Château Le dossier Lobineau :

  •           Henri Lobineau » serait un pseudonyme, dérivé de la « rue Lobineau » située près de la rue Saint-Sulpice à Paris.  Le Prieuré de Sion a édité des textes dans les années 70 affirmant que Henri Lobineau était un aristocrate français : Henri, Comte de Lénoncourt.  
                    Demeurons dans cette période moderne :Présenté comme l'un des auteurs de l'opuscule ''Le Serpent Rouge  '' Gaston de Koker mit fin à ses jours le 06 mars 1967.
Précisons que Gaston de Koker était domicilié rue de Sannois au 118 à Ermont - or Cyrano de Bergerac acheva son existence dans la commune de Sannois...

                    Enfin, la date du 06 mars est à mettre en relation avec l'église saint Germain l'Auxerrois de Paris dont je vous ai déjà entretenu : 


                   Elle est citée dans Le Dit des rues de Paris de Guillot de Paris sous la forme « rue Saint-Germain à Couroiers », sans doute parce qu'il y avait alors des corroyeurs le long de la Seine...  

 Le lien internet ayant disparu alors même que je l'ai consulté il y  a peu je m'en remets à ce texte ci-dessous que j'avais recopié en partie.  

Source l'ami de la religion et du Roi – 1815.
    • Le lundi 06 mars on célèbrera dans l'église St Germain l'Auxerrois une messe du Saint Esprit bénédiction de Dieu aux enfans la Providence
Certains esprits chagrins pourraient croire que, recoupant des éléments dont l'origine ,dans l'affaire qui nous occupe , serait associée à Pierre Plantard, je me sois égaré dans les méandres de celle-ci.

Inversez donc le raisonnement, ainsi que je l'ai déjà recommandé - et si derrière le rideau des apparences ( la mystification plantardienne de la filiation des Mérovingiens ) se dissimulait le message réel menant à une certaine vérité ? 

Poursuivons sur la date d'inauguration de l'église restaurée le 06 juin 1897 lors de la visite pastorale de Monseigneur Billard.

Au 06 juin 1897 correspond dans le calendrier juif le 06 sivan qui est la date de la fête de Shavouot, la Pentecôte juive : 

- Shavouot est mentionnée pour la première fois comme la fête de la moisson du blé.

- A cette fête est associée le don de la Torah sur le mont Sinaï.

Je terminerai cette étude en présentant un élément du cryptogramme de l'Aiguille Creuse :

Résultat de recherche d'images pour "cryptogramme aiguille creuse"

Une double  série de trois chiffres Deux ( 1ère deuxième troisième ligne en vertical ) formant un V.

En convertissant vers le calendrier républicain - 222 = 23 octobre 1793.

A cette date du 23 octobre 1793 nous trouvons une occurrence sur un artiste-peintre du 18ème siècle :

On le surnommait « Robert des Ruines », mais Hubert Robert n’a jamais eu de titre nobiliaire – il était fils de valet de chambre. Et son nom l’a sauvé, mais on racontera l’histoire plus tard, pendant la visite. En tout cas Robert aimait les ruines, ça oui, d’autant qu'il les fabriquait lui-même. Il avait une soif inextinguible de peindre, de dessiner, d’inventer des temples, des voûtes, des péristyles, des ponts… en ruines. Même quand il est arrêté dans son élan pour être incarcéré à la prison parisienne de Sainte-Pélagie, le 23 octobre 1793, avant d'être conduit à celle de Saint-Lazare (il occupait des fonctions officielles pour la famille royale, ce qui n’était pas bien vu du tout pendant la Terreur).

Artiste-peintre qui en qualité d'architecte cette fois participa à la création du parc Jean-Jacques Rousseau à Ermenonville :

http://www.ccr-parc-rousseau.fr/le-jardin/le-jardin-et-les-arts-2/

Une promenade virtuelle s'impose ici, avec un peu de chance vous pourrez gambader dans la prairie arcadienne, apercevoir un dolmen...et pourquoi pas un souterrain ?

A suivre - alain COCOUCH

P.S : Concernant Maurice Leblanc et la calendrier républicain voir la nouvelle : '' Le signe de l'ombre'' dans Les Confidences d'Arsène Lupin.

Le Signe de l'ombre, publication initiale in Je sais tout n° 77, 15 juin 1911, sous le titre Les Confidences d'Arsène Lupin.

Désolé pour la couleur de police de certaines phrases - il y  a comme un bug...




 

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