mercredi 28 août 2019

CIRCUIT



Parmi les diverses publications à mettre au crédit de ce qu'il est convenu de nommer la fine équipe, figure un tapuscrit déposé en 1967 en bibliothèque sous la signature de Philippe de Cherisey : CIRCUIT

Un avertissement figure en page 03 de ce tapuscrit :

Page 3 : « Le lecteur qui voudrait découvrir un second CIRCUIT ?sous circuit peut restituer les chapitres dans l’ordre des couplets. D’autres structures ont été envisagées que nous laissons au lecteur la joie de découvrir lui-même. »

Avant de porter la lumière je l'espère dans vos esprits, il convient de ne pas succomber à la vulgate, et d'appréhender ce matériel sous un regard neuf, et ceci envers et contre toutes les manipulations auxquelles le trio semble s'être livré, et dont la dernière en date '' De pierre et de papier'' se revendiquant comme étant le testament du divin marquis ( De Cherisey )

Adonc, prenons pour sérieux le contenu de ce tapuscrit et posons-nous la question : ce circuit peut-il dissimuler un second circuit ? 

Je vous présente donc ce second circuit :

https://libretheatre.fr/le-circuit-de-georges-feydeau/

Le lecteur curieux ou détendu  peut se rendre sur l'acte II lorsqu'il est question de pièce secrète qui permet de voir sans être vu à l'intérieur d'un château.
Il est question de citerne également.
Un plan de la citerne de Rennes-le-Château est à disposition sur le site renne-le-chateau.com
Nous savons également que Béranger Saunière s'était ménagé une telle pièce secrète au sein de son église.

Poursuivons notre étude de la pièce de théâtre de Feydeau - et là je place le résultat de mes recherches :

Le Théâtre des Variétés à Paris se situe à la longitude de 02° 20 ' 31'' Est, ce qui correspond à un site très proche du référent parisien dont je vous entretiens depuis que j'ai repris ma restitution.

- le nom de l'héroïne Phèdre ne peut qu'interroger pour ce qu'il est convenu d'appeler une pièce de boulevard - Phèdre renvoie à son auteur Jean Racine inhumé en l'église Saint-Etienne du Mont à Paris - longitude 02° 20' 53'' Est dont je vous ai entretenu dans le passé, église au demeurant abritant également la dépouille du célèbre cryptographe Blaise de Vigenère, dont le lien avec l'énigme n'est plus à démontrer.

Dans Circuit de Georges Feydeau il est question toujours concernant cette pièce secrète de '' Chambre ardente '' …

Ce que recouvre ce nom :

https://fr.wikipedia.org/wiki/Chambre_ardente_(tribunal)

Bien évidemment, le fait que Nicolas Fouquet ait été jugé par cette instance ne peut que nous faire signe.

Ce tribunal eut à juger l'un des scandales politico-judiciaires ( déjà ) se déroulant sous le règne de Louis XIV : l'affaire des poisons mettant en cause au-delà de certaines personnalités du grand monde de l'époque La Voisin, empoisonneuse, qui fut brûlée vive le 22 février 1680 en place de Grève à Paris.

22 février = 222 voir mon précédent texte et ce à quoi celui-ci renvoie.
222 c'est également la page de la Vraie Langue Celtique de l'abbé Boudet ou il est fait mention d'une bulle de Calixte II, dont j'ai déjà écrit que le banc de la grotte du calvaire de Rennes-le-Château et sa mystérieuse inscription renvoyait à l'exercice du pontificat de ce pape, ceci en associant chaque lettre à sa valeur numérique.

Passons à cette fresque dont il est question dans Circuit de Feydeau et qui met en scène deux Licornes et le dispositif associé à la corne de cet animal fabuleux.

La tentation serait grande de verser dans une justification symbolique de la présence de ces Licornes, et bien sûr nous ne pouvons passer sous silence la tapisserie La Dame à la Licorne.
Il conviendrait ici de faire un détour vers George Sand et Bourganeuf ou cette tapisserie fut un temps.

De manière plus prosaïque, car, n'est-ce pas, nous sommes bien dans une chasse au trésor, ou certains jalons posés correspondent à des informations d'ordre géographique, et peut-être ne se résument qu'à cela, il existait à Paris une rue de la Licorne :

https://fr.wikipedia.org/wiki/Rue_de_la_Licorne

Je signale ici le second point de longitude dont je vous entretiens depuis quelques mois 02° 20' 53'' Est.

La rue près le chevet de la Magdeleine, associée à la rue de la Licorne s'imposait !

Et puisqu'il est question de Licorne, je vous propose un saut temporel dans l'univers d'Hergé et '' Le secret de la Licorne '' vers lequel je reviendrais un jour.
Cet aparté est bien sûr indépendant de la pièce de Feydeau, question de cohérence de dates, je veux juste souligner ici la redondance de ce qui suit :

Pour être clair il y a une exploitation par Georges Feydeau de la rue de la Licorne pour sa longitude et son historique, et une exploitation du vaisseau Le Brillant de la part de Hergé pour le lien avec l'église saint-Germain l'Auxerrois : 


Dans la bande dessinée le vaisseau La Licorne s'inspira du navire Le Brillant dont la décoration de la poupe et de la proue fut l'œuvre du sculpteur jean Bérain père, qui fut inhumé en l'église Saint-Germain l'Auxerrois que je ne présente plus pour le rapport étroit qui lie cette église à l'énigme, en particulier sa longitude de 02° 20' 28'' Est, ainsi que pour l'historique de la rue du même nom Rue des Corroyeurs ( cf page 156 de la Vraie Langue Celtique pour 15 juin date anniversaire de la naissance de Nicolas Poussin ) .

Je termine cette intervention en reprenant à mon compte le conseil au lecteur  prodigué par Philippe de Cherisey.

Je garde par devers moi certains éléments trop directs…

alain COCOUCH













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