mercredi 6 juin 2018

LE SERPENT ROUGE



Je poursuis la restitution partielle de mes travaux.
Partielle, à mon grand regret , sous peine de risquer de perdre l'exclusivité du résultat final obtenu après de longues semaines de recherches.
Et, cela va de pair , risquer de livrer à la convoitise humaine un espace préservé , dont le caractère sacré a traversé les siècles.

J'ai écrit précédemment que la présence des trois "auteurs" modernes de cet  opuscule, c'est à dire leur identité empruntée pour les besoins de la cause, ne devait rien au hasard.
Je préciserais qu'il y a ici une volonté délibérée de transmettre, égalant en cela ceux qui ont posé les jalons nécessaires à une bonne compréhension de l'Enigme.

Je ne me prononcerais pas sur les tentatives d'explication des uns ou des autres depuis des années.
Je confierais juste au lecteur que les choses ne sont peut-être pas aussi simples que certains l'imaginent.

J'avoue moi-même mon erreur manifeste lorsque j'écrivais, il y  a quelques années, avoir résolu un extrait du Serpent Rouge : " Et merveille, lors des sauts des quatre cavaliers, les sabots d'un cheval avaient laissé quatre empreintes sur la pierre " 

Il sera utile d'analyser ce fragment, et souligner la malice du ou des auteurs : les sauts des quatre cavaliers induisent implicitement le fait qu'il y ait plusieurs équidés, l'un d'entre eux marquant son passage sur la pierre.
Que nenni ! 

En fait, il n'y a qu'un cheval, monté par quatre cavaliers, et ce fragment se réfère à la légende des quatre fils Aymon et ses prolongements physiques dans le paysage ( Le rocher Bayard - le Pas Bayard entre autres )

Ceci, je le certifie car il y a dans le résultat un fil rouge à suivre qui va nous mener à la résolution de Pax, ce fameux Pax que les chercheurs et passionnés de Rennes-le-Château connaissent trop bien.

Ce que je découvre en même temps ne devrait pas trop surprendre : il semblerait que d'aucuns, initiés ou au service d'initiés, aient marqué le territoire contemporain...

Mais poursuivons : la page de garde de cet opuscule s'ouvre sur un dessin d'amphore versant de l'eau.








Résultat de recherche d'images pour "le serpent rouge pierre plantard" 


 Figure sur cette même page de garde la date du 17 janvier 1967, bien que le dépôt de cet opuscule à la BNF ait été fait le 15 février 1967.

Si nous convertissons la date du 17 janvier 1967 en date du calendrier hébraïque, nous obtenons le 06 du mois juif de Shevat.

Or :

http://www.lamed.fr/index.php?id=1&art=1460

Intéressant, non ?

Pour autant, la date du 15 février ne doit rien au hasard !

Sur ce lien voir ce qui concerne La Sainte Rencontre de Notre Seigneur Jesus-Christ :

http://orthodoxenancy.fr/fr/les-calendriers-chretiens-orthodoxes-2018/

Cette date du 15 février dans l'église orthodoxe nous renvoyant sur celle du 02 février au sein de l'église catholique, en plus clair sur la date de la fête de la chandeleur, ainsi que je l'ai écrit précédemment.

La même strophe du Serpent Rouge ou il est question de cavaliers débutant ainsi :

" J'étais comme les bergers du célèbre peintre Poussin, perplexe devant l'énigme " Et in arcadia ego " référence bien évidemment au tableau " Les bergers d'Arcadie "...

Et toc ! ( le toc est pour celui qui pense que j'écris des conneries )

Poursuivons ce jeu de décryptage ou la densité des réponses ne peut qu'interpeller l'honnête chercheur.

Voyons le cas de deux des soi-disants auteurs :

Il est écrit que Pierre Feugère ait été domicilié à Pontoise, 9 rue des Cordelliers.
Ce qui, d'après l'enquête de Franck Marie, est vrai.

Posons le postulat suivant : 

Pierre Plantard ( et autres ) ont opéré un choix afin que les éléments liés aux trois auteurs présumés ( éléments dissimulés ) soient tout de même à la portée du chercheur.

Prenons la rue des Cordeliers à PARIS :

https://fr.wikipedia.org/wiki/Rue_de_l%27%C3%89cole-de-M%C3%A9decine_(Paris)

Je laisse le lecteur tirer les conclusions, j'attirerais juste son attention sur un détail, LE détail, à savoir la longitude de 02 ° 20' 28" Est.

Le "tombeau des Pontils"

Coordonnées GPS : 42° 56' 59" N - 2° 20' 27" E -  

G.de Koker quant à lui, fut domicilié au 118 rue de Sannois.

Pour bien saisir le message caché, il sera utile d'investiguer les éléments constitutifs de la commune de Sannois.

Faisons court et efficace :

Cyrano de Bergerac est né dans cette commune.
Il fut baptisé dans l'église de Sannois à la date du 06 mars 1619.
Dans le récit qui nous est fait, le troisième "auteur " Louis Saint Maxent se serait suicidé le 06 mars 1967.

La question qui est posée ici est : pourquoi Cyrano de Bergerac ?


A suivre ?

alain Cocouch







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