Bonjour,
Poursuivant mes investigations, toutes entières dirigées vers un seul objectif : être en mesure, un jour que j'espère prochain, de valider auprès du public, à force de résultats convergents vers une même direction, ce qui, pour l'heure, et pour celles et ceux qui me font l'honneur de me lire, demeure une hypothèse, je m'aperçois qu'il m'est difficile de rendre compte, sans prendre le risque de dévoiler ce qui doit être tu encore.
Je m'attacherais aujourd'hui, dans le droit fil d'une part du message véhiculé vis à vis de l'énigme de Rennes-le-Château, à éclaircir ce qui, dans la Vraie Langue Celtique de Boudet, tend à témoigner de la réalité de celui-ci.
Chacun(e) sait combien l'image de Marie-Madeleine ( et par delà celle-ci l'histoire qui nous est conté d'une descendance royale ) est omniprésente.
A force de travailler sur la VLC, il m'est devenu évident que l'abbé Boudet, dont on sait le talent pour la pratique de la langue des oiseaux, peut également exploiter à bon escient les homonymes à double sens dans son ouvrage.
Nous débuterons par Joseph ( choisi ici vis à vis de Joseph d'Arimathie - dans la VLC pour Joseph père de Jésus ), cité page 068 - 069 - 079
Suivant la logique de mon approche la page 068 se traduit en date du 06 août - 06 ème jour du huitième mois, dont voici ce qui en résulte :
- Sixte (Xyste), peut-être d'origine grecque (Athènes), est élu évêque de Rome le 30 août 257.
Il essaie de réconcilier l’Eglise de Rome avec celle de Carthage ; après l'intransigeance excessive de son prédécesseur, il donne l'image d'un pape conciliant, respectant les traditions des divers évêques et c'est ainsi qu'il sut renouer avec Cyprien de Carthage et les Eglises d'Asie qui baptisaient les hérétiques.
Il ordonne quatre prêtres, sept diacres et deux évêques.
Décapité le 6 août 258, il est inhumé dans la crypte des Papes de la catacombe de Saint-Calixte.
http://www.catacombe.roma.it/fr/percorsi_criptapapi.php
Ce qui doit prédominer dans ce travail cotoyant l'invisible dans le texte est de bien comprendre le message qui nous est adressé.
Ici, nous allons renouer avec une thématique fort connue dans l'énigme.
La page 69 se traduit en date du 06 septembre ( 06ème jour du neuvième mois )
https://books.google.fr/books?id=xN9s9rQZlhEC&pg=PA81&lpg=PA81&dq=06+septembre+et+marie+l%27%C3%A9gyptienne&source=bl&ots=7AJhwUj2W7&sig=Yk4Bc5pI-HWDbzVXQgcZQB1Y1ts&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwiz7M2clYDaAhVEyRQKHW12CccQ6AEIYDAO#v=onepage&q=06%20septembre%20et%20marie%20l%27%C3%A9gyptienne&f=false
Pour ce qui ressort de la page 079 je suis au regret de ne pouvoir indiquer le résultat.
Poursuivons avec le mot '' philosophique '' dans la VLC de Boudet.
Mot qui peut recouvrir également plusieurs sens, entre autre :
« Quelle est la nature du Mercure des Philosophes qui possède en lui tout ce qui est nécessaire à l'obtention de la Pierre des Philosophes -
Il ne s'agit pas du Mercure vulgaire et commun qui est habituellement vendu chez les commerçants, qui coule comme de l'eau et qui ne mouille pas la main, puisque sa sécheresse l'empêche d'adhérer à ce qu'il touche. Cette sécheresse retient l'humidité et lui fait obstacle, empêchant qu'il ne mouille. Notre Mercure, celui de tous les Philosophes, est différent et distinct, il lui est même opposé. Il ne mouille pas la main, bien que ce soit du sel et qu'il tire son origine d'une source saline, étant un mélange d'eau et de Terre déliées. Ce Mercure est pourtant d'une qualité différente de celui du vulgaire, puisque le nôtre est chaud et humide. Celui qui est vulgaire est froid et humide et ainsi il ne mouille pas. »
Pour autant les résultats que j'obtiens n'entretiennent pas de rapport immédiat avec l'oeuvre philosophique, mais complètent et précisent ce qui précède :
Le mot philosophique apparaît page 010 - 147 - 113
Nous laisserons de côté la page 10 qui aurait quelque difficulté à être traduite en date du calendrier.
Passons à la page 113 - traduite en date du 11 mars :
Ce jour du 11 mars est fêté Sophrone de Jérusalem
https://fr.wikipedia.org/wiki/Sophrone_de_J%C3%A9rusalem
Lequel Sophrone relata dans ses écrits l'existence de Marie l'Egyptienne :
https://www.franceculture.fr/emissions/orthodoxie/sainte-marie-legyptienne
Certains auteurs se sont demandé si Marie-Madeleine et Marie l'Égyptienne n'étaient pas une seule et même personne, et si La vie érémitique de Marie Madeleine (récit du IXe siècle) n'était pas directement inspirée de celle de la pénitente du désert, eu égard aux nombreux points communs que l'on retrouve dans leur hagiographie :
- Elles portent le même prénom ;
- Elles sont toutes les deux pécheresses repenties ;
- Elles se sont toutes deux retirées au désert (à la Sainte Baume pour Marie Madeleine) ;
- Toutes deux ont reçu la communion des mains d'un ermite ;
- Leur représentation iconographique est très semblable : nudité, longs cheveux en guise de vêtement.
Ne pouvant pour l'heure trancher en faveur de l'une ou l'autre je laisse la liberté au lecteur de bien vouloir se faire sa propre opinion.
La page 147 traduite en date du 14 juillet nous renvoie vers un lieu parisien - eh non ce n'est pas la Bastille.
Juillet (colonne de). Ce monument en bronze, ainsi nommé parce qu’il doit perpétuer la mémoire des trois journées de juillet 1830, s’élève à Paris au centre de la place de la Bastille, dont le nom rappelle tant de souvenirs. La colonne de Juillet appartient au style corinthien, avec chapiteau composite.
Le projet d’élever sur l’emplacement de la Bastille une colonne à la Liberté date de la première Révolution. Il avait été soumis à l’Assemblée législative par Palloy. L’érection de ce monument fut décrétée le 16 juin 1792, et les travaux furent commencés immédiatement. Le monument devait être construit avec des matériaux de la forteresse ; les outils même, le fer, le bois, tout en provenait : c’était une coutume mise en vogue par Palloy, qui posa la première pierre le 14 juillet 1792, en présence d’une députation de l’Assemblée nationale, où figurait Talleyrand. Nous trouvons dans le procès-verbal authentique de cette cérémonie un détail caractéristique. La députation de l’Assemblée s’étonnant que le roi ne fût pas présent, quoiqu’il eût été invité, fit effacer sur-le-champ ces mots de l’inscription : En présence de Louis XVI. Un mois plus tard, la rature devait s’étendre sur la monarchie elle-même.
Mais nous allons voir que le message qui nous est adressé répond à une grande cohérence :
https://www.20minutes.fr/paris/1818079-20160401-paris-crypte-colonne-juillet-place-bastille-prochainement-ouverte-public
Le légendaire de cette momie égyptienne ne peut ici que faire sens !
J'ajouterais, que dans l'esprit de Henri Boudet, ce renvoi sur ce monument ne doit absolument rien au hasard.
Il y a un détail...de très grande importance.
Poursuivons avec le mot Bible qui, étrangement , ne ressort qu'une unique fois dans la VLC, en l'occurence page 038.
Traduite en date qui va nous produire la date du 03 août.
http://calendrier.egliseorthodoxe.com/sts/stsaout/aout03.html
Résultat qui nous renvoie sur les Saintes-Maries de la mer :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Saintes_Maries
J'espère que le lecteur comprend toute la cohérence de ce fil rouge à suivre : catacombes, cryptes, Egypte, l'image mythique des Saintes Maries.
Mais ici je dois informer le lecteur que ce légendaire associé à l'Enigme de Rennes-le-Château et dont Henri Boudet se fait l'interprète n'est peut-être que l'arbre qui cache la forêt, qu'il existe peut-être une seconde lecture, celle-ci très prosaïque , menant vers l'emplacement des caches de Rennes-les-Bains...
Ainsi d'autres éléments associés à l'Enigme comme par exemple Sirius...
Il est à ce propos tout à fait remarquable que notre époque contemporaine se fasse l'écho en reprenant des éléments fondamentaux du résultat final.
Comme annoncé dans mes précédentes interventions, je me vois dans l'obligation, dictée par une certaine éthique , de faire silence.
J'aimerais beaucoup correspondre avec celles et ceux qui trouvent quelque intérêt à ma démarche
vous pouvez m'écrire à l'adresse mail ci-dessous :
alain.cocouch@gmail.com
l'auteur en ce 22 mars 2018